Articles de neumann-nathalie

La nuit noire de l'âme

Par Le 04/05/2019

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Un article d'Angella de Pranacanal qui donnera de la lumière à vos questions concernant ces périodes très difficiles où nous sommes obligés d'aller au fond de nous même, de laisser notre ego à sa place et n'écouter que son coeur.

J'ai, à mon sens, traverser plusieurs nuits noires de l'âme et c'est ce qui m'a permis d'être qui je suis à ce jour !

Bonne lecture... cliquez sur le lien ci-dessous

La nuit noire de l'âme

Les évolutions de notre mission de vie

Par Le 04/05/2019

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Trés bel article d'Angella de Pranacanal qui vous explique clairement à quoi consiste vraiment une évolution de notre mission de vie.

Bonne lecture ... cliquez sur le lien ci-dessous pour accèder à l'article

Les évolutions de mission de vie

La signification spirituelle de trouver de l’argent

Par Le 09/12/2018

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Source : Espritsciencemetaphysiques.com/


Trouver de l’argent sur la route est quelque chose d’assez plaisant. Peu importe qu’il s’agisse d’une importante somme d’argent ou non, trouver ne serait-ce qu’une pièce de monnaie par terre est plutôt intriguant.

C’est un sujet que la plupart des gens aiment partager avec les autres.

Mais saviez-vous que trouver de l’argent juste comme ça signifie quelque chose de très important, et que c’est lié à la spiritualité?

Dans le symbolisme, l’argent est souvent associé au pouvoir, à l’histoire et à la valeur. L’argent est relié à l’histoire, passant d’une main à l’autre – un billet de banque reste en circulation pendant de nombreuses années. Toutes les personnes qui détiennent une devise leur transmettent un peu d’énergie.

Il est évident de constater la façon dont l’argent est connecté au pouvoir et à la valeur. La personne qui a plus d’argent aura au final le pouvoir. L’argent est une valeur, et est sans définition.

Dans le symbolisme chinois, l’argent ne représente pas seulement le moyen d’échanger de la valeur, mais symbolise aussi la chance. C’est pourquoi les gens qui trouvent de l’argent dans la rue le considèrent comme un porte-bonheur.

Mais quelle est la signification spirituelle du fait de trouver de l’argent ?

Eh bien, en d’autres termes, nous pourrions dire qu’en trouver signifie que vous êtes valorisé, pas seulement parmi la population mondiale, mais aussi dans le royaume des esprits.

Trouver de l’argent signifie que les anges et les esprits vous disent que vous êtes extrêmement précieux. Cela pourrait également être le signal de l’amour et que vous devriez mieux tirer parti de vos proches décédés.

Les gens trouvent souvent de l’argent sous forme de pièces et de centimes. Pourquoi les esprits choisissent-ils cette forme de devise?

La réponse est simple : les pièces durent plus longtemps que la monnaie en papier. Leur brillance et leur couleur ont aussi facilement tendance à attirer une personne. Mais vous pourriez aussi trouver un billet.

Il y a deux choses à considérer quand vous trouvez de l’argent : D’abord, à quoi pensiez-vous quand vous avez trouvé cet argent ? Et, quelle devise avez-vous découvert ?

Trouver des centimes (Avoir le numéro 1)

Le numéro un est associé à un nouveau départ. C’est le signal de départ pour de nouvelles idées. Mais cela pourrait aussi signifier le succès, les réalisations et le progrès. Trouver des centimes signifie que vos anges et les esprits vous guident afin que votre pensée nouvelle puisse vous apporter le succès, et que vous devriez rester positif.

En dehors de cela, le numéro un signifie également l’unité, il peut vous rappeler que vous êtes connecté avec les esprits et vos êtres chers. En outre, cela signifie que vous pouvez libérer votre peur et prendre un nouveau départ.

Trouver des centimes (Avoir le numéro 10)

Le numéro 10 est le numéro de l’éveil qui vous demande d’accorder plus d’attention et dans le cas présent, cela signifie que vous devriez faire confiance à votre intuition et aller de l’avant avec votre décision. Cela signifie également que vous avez le soutien des esprits, et que les choses se dérouleront comme vous le voulez.

Vous devriez libérer toute peur qui s’empare de votre cœur, parce que les esprits vous regardent et vous aident dans de nombreuses choses. Cela signifie que vous obtiendrez le changement positif souhaité dans votre vie. Vous devriez rester concentré sur votre objectif et vous obtiendrez la réussite.

 

Les 10 lois de l’Abondance !

Par Le 20/08/2018

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Les lois de l’abondance englobent certaines de celles que l’on appelle "lois de l’univers" !

Les lois de l’abondance englobent certaines de celles que l’on appelle "lois de l’univers".
Elles font référence à une série de croyances liées à la pensée positive. 
Selon les lois de l’abondance, il est probable que nous ayons du succès là où nous pensons que nous pourrons l’atteindre. 
De cette manière, la mentalité de l’abondance est une aide permettant d’atteindre ce que nous nous imposons.
Selon Sergio Fernandez, l’auteur de "Vivre sans patron", les lois de l’abondance sont au nombre de 10 et elles existent dans l’univers même si nous n’y participons pas.
 

A quoi nous référons-nous par abondance ?
Selon le premier sens du dictionnaire, le terme abondance fait référence à une grande quantité, qu’elle soit physique ou conceptuelle. 

Le second sens correspond en revanche à la "prospérité, richesse ou bien-être"
C’est cette signification qui nous intéresse.
L’abondance peut donc faire référence à la prospérité et au bien-être. 

Ainsi, en élargissant sa signification, nous pourrions dire que l’abondance correspond à un état mental, moral et physique qui nous aide à atteindre nos objectifs. 

Selon Sergio Fernandez, voici les 10 lois de l’abondance qui régissent notre univers. 

1. Loi de la création !
"Les pensées et les émotions créent la réalité dans laquelle nous habitons ou non où de la même manière, ce qui est tangible se passe dans l’immatériel."
De cette manière, Fernandez nous indique que nous sommes capables de créer ce que nous souhaitons être, faire ou avoir si dans un premier temps nous le ressentons et le pensons.
 

2. Loi de la vibration !
"J’obtiens ce à quoi je pense le plus, que je le désire ou non".
Liée à l’antérieure, cette loi affirme que plus nous pensons ou ressentons quelque chose, plus nous y croyons. 

Comme c’est énoncé dans la loi, cela peut avoir un effet négatif si nos émotions ou nos pensées n’ont pas de valeur positive.
 

3. Loi de cause à effet !
"Tout ce que tu expérimentes dans la vie est un résultat."
Nos expériences sont connectées par une succession de causes et d’effets intrinsèques à celles-ci. 

Nos actions, nos pensées et nos émotions trouveront donc leur origine dans notre passé et se répercuteront dans notre futur. 
La conséquence immédiate de cette idée est que nous avons un pouvoir infini sur notre présent pour influencer ce qui nous arrive.
 

4. Loi de l’équilibre !
"L’abondance c’est donner avec générosité et être excellent à l’heure de recevoir."
Selon cette loi, on nous rendra d’une certaine manière ce que nous sommes capables d’apporter au monde. 

En fait, si nous espérons que le monde fonctionne mieux, nous pouvons contribuer à ce qu’il soit meilleur. 

5. Loi de l’ordre !
"L’ordre de la vie correspond à être-faire-avoir."
L’ordre doit être celui-ci et pas un autre. 

Il faut d’abord être quelque chose pour pouvoir ensuite le faire et obtenir des résultats. 
Si nous souhaitons avoir une pâtisserie à succès par exemple, il faudra d’abord être spécialiste en la matière pour ensuite créer le produit. 
Enfin, et si nous avons suivi correctement les étapes, nous atteindrons l’objectif.
 

6. Loi de l’action !
"Je fais une chose comme je fais tout le reste."
Nous avons tous une signature, un style. 

Cette manière d’agir est celle qui nous définit, celle qui nous distingue des autres et finit par nous définir. 
Ce style se transformera en fait en une sorte d’inertie qui nous invitera à agir de manière cohérente avec ce que nous avons déjà fait et la manière dont nous l’avons fait.
 

7. Loi du moindre effort !
"S’efforcer génère du stress et consomme ton énergie, quelque chose qui est bien loin du fait de vivre avec abondance."
Il ne s’agit pas d’éliminer l’effort de notre vie ou de réaliser nos activités sans envie ; mais de trouver la manière la plus simple et productive d’atteindre l’objectif. 

Si un chemin plus simple existe pour atteindre les mêmes objectifs : pourquoi dépenser notre énergie ?
 

8. Loi des moyens et des fins !
"Je ne pourrai atteindre le bonheur demain qu’en étant heureux aujourd’hui."
Comme on a pu le voir dans la loi de l’ordre, il faut d’abord être pour avoir. 

Si nous souhaitons la fin, nous devons trouver le moyen. 
Dans ce cas, le bonheur du lendemain sera conditionné par celui du jour même.
 

9. Loi de l’expression des dons !
"Mettre ton don au service des autres est une cause d’abondance."
Comme c’est perceptible dans la loi 4, nous devons être généreux si nous souhaitons que le monde nous apporte de la générosité. 

En partageant ce que nous savons faire, nous contribuerons au bon fonctionnement social.
 

10. Loi du détachement !
"Je me lie à l’action et je me détache du résultat de l’action."
Au contraire de ce que l’on pourrait percevoir dans cette citation, nous ne devons pas réaliser une action en pensant au résultat. 

Si nous sommes généreux, nous trouverons de la générosité chez ceux qui nous entourent, mais notre attention ne doit pas être dans le fait de recevoir, mais bel et bien dans le fait de donner.

Après avoir passé en revue les 10 lois de l’abondance, nous sommes tous libres de les adopter et d’intégrer les résultats de la réflexion personnelle à notre histoire personnelle.


Source : Le Grand changement
Texte partagé par les Chroniques d'Arcturi
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Si ces 15 animaux croisent votre route, c'est que l'au-delà vous contacte

Par Le 11/08/2018

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Lorsque certains animaux croisent notre route, ils veulent faire passer un certain message.

Plusieurs tribus amérindiennes croyaient que chaque animal avait son propre message.

Les animaux sont des êtres conscients et sensibles et il est important que nous traitions tous les êtres vivants avec la même dignité et le respect que nous attendons.

Les anciens ont toujours considéré les animaux comme sacrés et leur comportement était souvent utilisé comme des indices et des signes sur ce que la Terre Mère pourrait faire.

En regardant le comportement des animaux, nous pouvons mieux comprendre l’énergie qui nous entoure et avoir une vision plus approfondie des messages et des signes intuitifs.

Tout comme nous avons des guides spirituels, nous avons aussi des animaux spirituels. Souvent, les animaux spirituels entreront dans notre vie pour nous donner un message ou pour nous enseigner quelque chose sur notre propre capacité et notre force.
Parfois, un animal entrera dans notre vie pour une courte période comme un moyen pour nous signaler que nous devons faire attention à quelque chose.


Si ces 15 animaux croisent votre route, c’est que « l’ au-delà » vous contacte :

Animaux messagers communs et leur signification

Faucon :

Faucon

Crédit photo : Mick Thompson

Le faucon a des yeux vifs et des ailes fortes. Si vous voyez continuellement des faucons ou des images de faucons, il se peut que vous ayez besoin de regarder quelque chose plus attentivement avant de continuer.
Cela peut aussi signifier qu’une leçon importante va bientôt avoir lieu dans votre vie.


Aigle :

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Crédit photo : Aigle © Getty

L’aigle est un signe de protection spirituelle et de passage à un niveau de conscience supérieure.

Si vous voyez à plusieurs reprises des images d’aigle dans votre vie, il se pourrait que vous transcendiez ou que vous vous déplaciez dans un nouveau domaine de la conscience.


Corbeau :

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Photo tirée du site : https://www.pourlascience.fr/

Généralement considéré comme un mauvais présage, voir un corbeau peut indiquer que vous êtes prêt à lâcher-prise de quelque chose ou que vous vous préparez à entrer dans un cycle de «mort et de renaissance».

Voir un corbeau indique très rarement la mort physique, mais c’est un signe d’une renaissance prochaine.


Chouette :

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Photo tirée du site : https://www.wapiti-magazine.com/

Voir une chouette indique que vous devez faire attention à votre intuition et à votre sagesse.

Le chouette est également un rappel qu’il faut faire attention à tous les sentiments intuitifs que vous recevrez car ils tentent de vous indiquer la bonne direction.

La chouette peut également être un signe que vous devez tenir compte de votre vérité et agir à partir d’un lieu d’authenticité.


Cardinal :

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Crédit photo : NationalGeographic

L’oiseau cardinal a souvent été associé à recevoir un message d’une figure paternelle décédée ou d’un guide spirituel masculin.
Si vous voyez à plusieurs reprises des cardinaux, cela pourrait vous rappeler que vous êtes aimé et protégé par cet homme, ou un rappel pour rester fort et confiant dans le chemin sur lequel vous marchez.


Geai bleu :

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Photo tirée du site : https://zoosauvage.org/

Voir un geai bleu est souvent associé à recevoir un message d’une figure féminine décédée ou d’un guide spirituel féminin. Si vous voyez à plusieurs reprises des geais bleus, il est possible que ce soit pour vous rappeler de continuer vos projets créatifs en cours.
Cela pourrait également indiquer que votre famille a besoin de vous ou que l’unité familiale est importante.


Mante religieuse :

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La mante religieuse vient nous rappeler qu’il est temps d’amener la paix et la tranquillité dans notre vie. La mante religieuse vient en tant que messager pour nous rappeler le pouvoir de l’immobilité et créer de l’espace dans notre vie pour ce que nous aimons faire.

Voir une mante religieuse à plusieurs reprises peut également signifier qu’il y a un message auquel vous devez faire attention ou quelque chose qui vous manque.


Lézard :

Lezard

Crédit Photo : Philippe Rouzet

Si vous voyez à plusieurs reprises des lézards ou des images de lézards, cela peut indiquer que vous devez accorder plus d’attention à vos rêves et vos objectifs. Peut-être avez-vous perdu de vue tout ce que vous pouvez réaliser ou peut-être ressentez-vous du négatif à propos de vos capacités pour réaliser tout ce que vous désirez.

Voir un lézard est un rappel que vous avez le pouvoir et que vous devez consacrer plus de temps à cultiver votre chemin le plus élevé.


Serpent :

Serpent

Crédit photo : Chrysopelea, le serpent volant © By Gihan Jayaweera, Wikimedia Commons

Voir un serpent est un rappel puissant de votre force de vie et de vos passions. Si vous voyez à plusieurs reprises des serpents ou des images de serpents, cela pourrait indiquer que vous devez faire attention à vos passions et mettre plus d’énergie dans leur poursuite.

Voir un serpent peut également indiquer que vous entrez dans un lieu de guérison et de renouvellement.


Araignée :

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Photo tirée du site : http://www.canald.com/

Les araignées portent un puissant symbolisme sur la création et la connectivité spirituelle. Lorsque vous voyez souvent des araignées, cela peut indiquer que vous devez tenir compte de votre potentiel créatif et suivre toutes les idées ou inspirations que vous devez créer.

Cela peut également être un signe de votre connectivité au monde spirituel et peut-être aussi indiquer que l’esprit essaie de vous envoyer un message ou un rappel sur cette connexion.


Libellule :

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Photo tirée du site : https://www.fotocommunity.fr/

Voir une libellule est un rappel que vous n’êtes pas seul et que vous êtes très protégé par vos anges gardiens et vos guides spirituels.

Si vous voyez à plusieurs reprises des libellules, cela peut également indiquer que vous êtes sur le bon chemin et que vous vous dirigez dans la bonne direction pour votre âme.


Coccinelle :

Coccinelle

Photo tirée du site : https://www.nosanimos.com/

La coccinelle est généralement considérée comme un signe de bonne chance et indique que les choses sont sur le point de changer en votre faveur. Voir des coccinelles ou des images de coccinelles à plusieurs reprises peut également indiquer que vous avez besoin d’être reconnaissant pour tout ce que vous avez et la direction que prend votre vie.

Les coccinelles peuvent également vous indiquer un bon moment pour vous permettre d’obtenir vos meilleurs rêves et souhaits.


Papillon :

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Crédit photo : Pedro Pardo / AFP

Les papillons viennent vous rappeler le pouvoir de la transformation et qu’il faut évoluer en interne avant de pouvoir passer à l’extérieur. Si vous voyez à plusieurs reprises des papillons, il se peut que vous ayez besoin de changer ou de libérer des pensées ou des sentiments qui vous retiennent.

Voir un papillon peut également indiquer un cycle de transformation ou de croissance dans votre vie.


Loup :

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Crédit photo : © Vjaceslavs

Si vous voyez à plusieurs reprises un loup ou une image d’un loup, cela peut indiquer qu’il est temps pour vous de faire attention aux personnes qui vous entourent.

Si vous voyez un loup, c’est peut-être aussi un signe que vous devez apprendre à accepter l’aide des autres.


Renard :

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Photo tirée du site : https://ecologie64.wordpress.com/

Le renard vient rappeler qu’il pourrait y avoir une autre façon d’aborder de votre vie ou de voir des choses. Si vous voyez à plusieurs reprises des renards ou des images de renards, il se pourrait que vous deviez ajuster votre réflexion sur quelque chose et votre façon d’aborder les choses.

Les renards peuvent aussi rappeler de chercher de la joie, de ne pas prendre les choses au sérieux et de rire des petites choses.
L’utilisation de votre intuition sera la clé pour déterminer quels messages un animal particulier essaie d’apporter dans votre vie. Utilisez ceci comme un guide, mais si vous avez trouvé cette page, il est très probable que le message écrit ici soit pour vous.


Cet article est basé uniquement sur des témoignages et l’expérience personnelle des auteurs et sur les manifestations riches et nombreuses qu’ils ont eu l’immense chance et bonheur de recevoir.

 

Communiquer avec son âme

Par Le 29/06/2018

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Transmis par Caroline Faget

Vous sentez-vous parfois seul dans votre vie et séparé de votre âme ? Avez-vous l’impression « d’errer comme une âme en peine », comme le dit le dicton, et d’être déconnecté de la partie la plus importante de votre être ? Que se passerait-il si vous passiez d’un sentiment de vide, de solitude et de mal être à un sentiment d’unité, de joie et d’interaction permanente avec votre âme ? Quelles seraient les transformations si vous commenciez à collaborer avec elle ?

Voici ce que dit Mère Meera de l’âme :

« L’âme existe en chaque être vivant, partout où il y a naissance, croissance et mort. Par exemple, chaque être humain a une âme. Chez un être humain, l’âme possède les qualités de vérité, de paix, de justice, de don de soi, de sacrifice, de non-violence, de droiture, de devoir, de compassion, de patience, de sagesse etc… L’âme a ses propres règles et principes. Elle nous guide pour nous libérer de la colère, du mensonge, de la luxure, de l’avidité et de la violence. Si nous l’écoutons, nous aurons une vie heureuse et harmonieuse. Il n’y aura plus de souffrance. »
Mère Meera, Réponses, tome II

Je vous partage quelques clés qui, je l’espère, pourront vous aider à rétablir ou à approfondir la communication avec votre âme.

Avoir conscience que l’on a une âme

Si nous portons sans cesse notre attention sur la forme, la matière, l’extérieur, le tangible et le visible, nous aurons du mal à communiquer avec notre âme et à l’entendre puisqu’elle est au contraire sans forme, intérieure, intangible et invisible. Si nous ne prêtons pas attention à son existence, nous aurons du mal à lui accorder une place dans notre vie.

La considérer comme un être vivant

Nous pourrions déjà commencer par la considérer comme un être humain à qui l’on peut s’adresser à tout moment et de la façon qui nous correspond le mieux. Et alors pourrions-nous lui ouvrir notre cœur et l’aimer tout simplement ? Elle est venue pour nous aider à retrouver le bon chemin. N’est-ce pas le plus beau cadeau que le Divin pouvait nous faire ? Afin que nous ne nous sentions pas totalement séparés de la Source, Dieu nous a tous dotés d’une âme et de la capacité de pouvoir entrer en contact avec elle à tout moment !

Entrer en contact avec son âme, c’est comme communiquer avec son meilleur ami.

Quels sont les ingrédients pour que la meilleure relation qu’il vous est donné de vivre fonctionne ? Sans doute vous sentez-vous bien avec cette personne ? Vous avez envie de l’écouter car ce qu’elle dit vous intéresse. Vous aimez passer du temps avec elle et partager de bons moments. Vous lui laissez la place de s’exprimer et elle vous laisse la place de vous exprimer. Vous lui faites confiance et vous la respectez. Vous ne la jugez pas sans cesse. Vous vous rendez disponible pour elle et vous l’aimez pour ce qu’elle est. Pourquoi la relation avec notre âme serait-elle différente des autres interactions que nous avons dans notre vie de tous les jours ?

Prendre le temps de se centrer

Si nous nous agitons sans cesse dans tous les sens, cela ne favorisera pas la connexion avec notre âme. Soyons disponible pour elle tout comme nous le ferions avec un ami proche. Nous pourrions privilégier les moments de calme, de silence, de recueillement et d’intériorisation. La méditation ou toute autre activité méditative comme la marche, la pêche, la peinture, la relaxation ou la contemplation (paysage, animaux, nature…) favorisent la communication avec notre âme.

La créativité

Les activités créatives nous mettent en contact avec notre âme car nous recevons et nous exprimons par le dessin, la sculpture, le chant, l’écriture etc…les jaillissements de notre âme. Dans ces moments, nous nous abandonnons tout simplement à ce qui est et nous recueillons ce qui nous est transmis sans nous poser de questions. Communiquer avec son âme demande du lâcher prise et de l’abandon car c’est un langage qui vient de l’intérieur et qui est plus subtil que des mots.

Le langage de l’âme

L’âme ne nous brusque pas. Elle ne crie pas et n’est pas autoritaire mais au contraire douce, bienveillante, respectueuse de qui nous sommes et de là où nous en sommes. Elle s’adapte à notre rythme et à notre compréhension et va donc utiliser un langage que nous pouvons comprendre. Elle communique de façon profonde, simple et limpide. Son langage est direct et nous le comprenons spontanément sans avoir besoin de réfléchir. C’est naturel et cela coule de source. Son langage est doux comme si elle nous murmurait à l’oreille. (Lire l’article « Entendez-vous le murmure de votre âme? »)

Elle peut communiquer avec nous par des images, des sensations ou des impressions. Elle utilise aussi l’intuition lorsque, par exemple, nous avons une idée fulgurante qui nous enthousiasme ou qui clarifie une situation. Elle peut aussi s’exprimer à travers nos rêves car, pendant que nous dormons, notre mental se déconnecte et cela permet à notre âme de mieux nous transmettre ses messages.

Voici une anecdote que j’ai vécue il y a quelques années et qui peut illustrer la façon dont notre âme communique avec nous. Je vivais alors avec un homme mais je ne me sentais plus heureuse avec lui. J’ai « bataillé » pendant des mois car, même si je savais que cette relation ne me convenait plus, j’avais peur de quitter cette soi-disant « sécurité affective ». Le premier janvier 2010, j’ai reçu un message très clair de mon âme. Tout à coup, alors que j’étais assise dans la voiture et que mon compagnon conduisait, une paix religieuse s’est emparée de moi et elle contenait la réponse à mes préoccupations. Dans ce calme intérieur et grandiose qui contrastait avec des mois de stress, j’ai ressenti que la relation était terminée. Malgré ce message que je ne considérais pas comme une bonne nouvelle, j’ai été enveloppée par une énergie très apaisante qui a été plus forte que les peurs. Mon âme m’a clairement transmis sa réponse. C’était imposant, clair, limpide, fort et doux à la fois. Cette énergie englobait tout et elle sonnait le glas de ma relation affective avec cet homme.

Collaborer avec son âme

Communiquer avec son âme est une collaboration, un engagement à long terme. C’est comme investir sur le plan visible et invisible en même temps. En collaborant avec notre âme, nous travaillons sur le plan subtil et cela aura tôt ou tard des répercussions sur le plan physique. Plus nous collaborerons avec notre âme, plus elle nous aidera. Plus nous l’écouterons et plus elle communiquera avec nous. Moins nous l’écoutons et moins notre vie est harmonieuse. Car notre âme nous aide à évoluer plus vite et à avoir une compréhension plus profonde de ce que nous vivons. En écoutant notre âme, c’est comme si nous prenions l’autoroute au lieu de passer par les petites routes sinueuses. Cela ne signifie pas non plus que tout va se résoudre d’un coup de baguette magique car certaines expériences sont nécessaires sur notre chemin d’évolution. Nous avons des leçons à apprendre car nous sommes ici pour grandir en amour et en conscience. (Lire l’article « Les choix de l’âme »)

Nous avons le choix de résister à ces enseignements et à les fuir. Il est de notre responsabilité de les accueillir ou de se boucher la vue. Les enseignements ne changeront pas mais c’est la façon dont nous les recevrons qui changera ainsi que la manière dont ils nous seront transmis. Plus nous résistons, plus nous faisons la forte tête et plus l’âme choisira des moyens adaptés afin que nous saisissions le message. Nous pourrions donc nous éviter bien des souffrances si nous acceptions avec honnêteté ce qui nous est donné d’expérimenter.

Le jour où j’ai eu la sensation d’une nausée alors que j’étais en train de ranger mes cours d’enseignante a été un signal fort qui m’a poussée à passer à l’action pour quitter l’éducation nationale. J’ai tout de suite su ce que voulait me dire mon âme: « STOP ». J’ai mis en relation les cours que je tenais dans mes mains avec mon sentiment d’écœurement car c’est exactement ce que je ressentais pour mon métier.

L’âme emprunte un chemin bien précis pour communiquer avec nous : son message naît dans nos corps les plus subtils avant d’arriver jusqu’aux corps physiques. J’ai su ce jour-là que j’allais contracter une maladie si je ne changeais pas quelque chose dans ma vie. Quelques mois plus tard, un voyant m’a confirmé cette sensation. Si je n’avais pas écouté mon âme, une maladie se serait déclarée, je serais sans doute décédée quelques années plus tard et j’aurais poursuivi mon chemin dans une autre incarnation. Si l’on ne comprend pas la leçon dans cette vie, nous la comprendrons plus tard. C’est ainsi que chacun apprend à son propre rythme.

Parfois l’âme met sur notre route des expériences difficiles pour nous permettre d’évoluer et certaines personnes ont la faculté de percevoir le cadeau qui se cache derrière les épreuves. Une personne que j’accompagne en thérapie angélique m’a dit récemment qu’elle avait considéré son cancer comme une bénédiction. Car, grâce à cette épreuve, elle a pu accéder à un niveau de conscience plus large et plus élevé. Nous avons tous la capacité de passer à travers les épreuves sans être obligé de changer de corps ni d’incarnation.

Si nous refusons de collaborer avec notre âme, il n’y a aucune gravité puisque nous aurons la possibilité de reprendre l’expérience là où nous l’avons laissée.

Notre âme nous veut du bien mais souvent l’être humain se comporte comme un enfant capricieux et il oublie qu’il n’est pas seulement un être de chair et d’os. Il oublie le plus bel aspect de lui-même et la raison pour laquelle il est revenu sur terre. Il oublie qu’il est une goutte d’eau qui ne peut être séparée de son élément naturel : l’océan infini.

Se retirer pour laisser la place à notre âme

Lâchons notre personnalité, nos exigences, notre égo, notre volonté et laissons la place à notre âme. Tâchons de nous retirer pour nous en remettre à elle et à Dieu. « Chère âme, je te fais entièrement confiance et je te laisse me guider. Aide-moi à rejoindre en toute douceur le chemin le plus approprié que tu as choisi pour moi. »

Nous sommes souvent parasités par nos peurs, notre recherche de sécurité et de contrôle. Si nous suivons notre âme, elle nous conduira à un endroit que nous n’avons pas la capacité d’imaginer. Et alors nous découvrirons de nouvelles contrées merveilleuses.

Communiquer avec son âme

Peut-être pourrions-nous observer ce qui vient de l’âme et ce qui ne vient pas de l’âme? Peut-être pourrions-nous faire le tri entre les énergies qui nous viennent de l’extérieur et celles qui nous viennent de l’intérieur? Il n’y a pas de recette magique pour communiquer avec son âme car chacun est invité à créer sa propre recette. Nous pourrions nous adresser à elle ou lui écrire une lettre afin de lui partager tout ce qui nous traverse.

Nous repartirons de notre voyage terrestre sans aucune valise physique mais nous emporterons dans nos bagages invisibles tous les apprentissages que nous aurons accomplis sur le plan de l’âme.

Alors laissons-nous simplement être guidés par notre âme puisqu’elle connaît le chemin !


 

Sylvothérapie : 9 arbres qui nous font du bien

Par Le 21/02/2018

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Marcher dans les bois, faire une pause dans un parc, s'asseoir à l'ombre d'un arbre... Ces activités nous reconnectent à la nature et réduisent notre stress

Suite de l'article en cliquant sur ce lien ⇒ Sylvothérapie : 9 arbres qui nous font du bien

Interprétation de nos rêves

Par Le 11/02/2018

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Je ne suis pas du tout une spécialiste du décryptage de rêves, mais voici un site qui ne me quitte jamais lorsque je me souviens des miens.

En général, si je m'en souviens c'est qu'il y a un message qui est passé. Encore hier un super message est venu à moi et tout était d'une justesse incroyable !

Voici le lien pour vous lancer à votre tour à comprendre vos messages ... Dictionnaire des rêves

Faire le deuil de son animal de compagnie

Par Le 25/11/2017

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Ce sont des compagnons, des maîtres de vie. Nous les aimons comme des amis, voire comme des frères, ou parfois même des enfants. Les animaux de compagnie occupent souvent autant de place que les êtres humains dans la vie de leurs maîtres. Lorsqu’ils décèdent, leur absence peut créer un vide aussi douloureux que la perte d’un proche. Et un vrai travail de deuil est nécessaire, d’autant plus difficile qu’il est souvent incompris et sous-estimé.

« Elle a réuni ses dernières forces pour venir s'éteindre dans mes bras. Je l'ai cajolée et lui ai parlé jusqu'au dernier moment. J'ai essayé de la réchauffer, mais je sentais bien son petit corps se refroidir et la vie la quitter. Elle est morte à 22h22, et aujourd’hui encore, à chaque fois que cette heure s'affiche, je pense à elle et j'ai envie de pleurer », raconte Florence, qui a perdu sa chatte Marie en 2006. Huit ans après, la douleur causée par cette perte est encore bien présente. Une peine que connaissent de nombreux propriétaires pour qui leur animal de compagnie est bien plus qu’une bête à poils, à plumes ou à écailles. 

Perdre un vrai compagnon de vie

« Quel que soit l'animal que vous possédez, il ne vous juge pas, n'est pas jaloux, ne vous trompe pas, et vous aime tel que vous êtes. Et cela, jamais un humain ne le fera », commente Nadine, dont la chatte Isis est décédée à l’âge de 12 ans. Pour Camille, son cheval – même s’il ne vivait pas avec elle -, était un réel compagnon de vie. « Rock était un prolongement de moi. Avec lui, je ressentais un bien-être incroyable et un élan de liberté. C’était aussi un vrai maître de vie ». 

De son côté, Amélie a eu l’impression de trouver son âme sœur en sa chienne Lilou. « Dès que nous nous sommes vues, ça a été le coup de foudre. Nous ne faisions qu'une. Nous étions comme connectées ». Pour d’autres, comme Pauline, l’animal devient un membre de la famille. « Notre chien Charlie était comme un enfant pour mon compagnon et moi. J’avais l’impression d’être en symbiose avec lui ». Même ressenti chez Norbertus. « Nos deux enfants considéraient notre chienne presque comme une grande sœur ». 

C’est parce qu’un animal de compagnie a tant d’importance dans la vie de son maître que son décès crée un vide immense et que le deuil est aussi douloureux. Selon Valérie, 48 ans, si le chagrin causé par la perte de son chien a été aussi forte, c’est parce qu’elle l’a forcée à voir les choses en face. « Sa disparition a réveillé mon mal existentiel : nous ne sommes pas éternels, mais bien mortels ».

Affronter l’incompréhension des autres

« Ce n’est qu’un animal, il n’y a pas mort d’homme », « Ne te mets pas dans des états pareils pour un chat », « Tu n’as qu’à en reprendre un autre »… Des remarques fréquentes qui font du mal et mettent parfois en colère. Ce regard sévère, Valérie a dû y faire face lorsqu’elle a perdu son chien de quinze ans. « Comment oser dire que ce décès est à relativiser ? Cette disparition a été plus importante que celle de mes grands-parents. Mon chien vivait avec moi 24/24h, il était mon éponge à émotions, mon repère au quotidien ».

C’est justement ce rapprochement avec la perte d’un proche qui est souvent critiqué par ceux qui ne saisissent pas ce qu’implique la mort d’un animal de compagnie. « Il est souvent très difficile de faire part de son désarroi. Les personnes qui n'ont jamais vécu de relation intense avec un animal ne peuvent pas comprendre le bouleversement et la souffrance ressentis », analyse la vétérinaire Marina von Allmen. Pourtant, il est important de considérer à sa juste valeur la douleur causée par cette perte. « Pour certains la mort d’un animal de compagnie sera effectivement plus douloureuse que le décès d’un parent. Cette peine est propre à chacun et dépend de son histoire de vie. On ne peut pas comparer et hiérarchiser les souffrances des autres », ajoute la thérapeute du deuil Martine Golay Ramel.

Lorsque son lapin Nuage est décédé, Alexia a été anéantie. Les moqueries de ses camarades de lycée ont aggravé son sentiment de solitude. « Mes amies se moquaient de moi. Une d’entre elles a même osé me mettre ses gants en angora sous le nez parce qu'elle trouvait ça drôle. » Une attitude cruelle qui illustre bien l’incompréhension de certains face à la mort d’un animal. Pour Camille, le pire était la question systématique : « Et ça vit combien de temps un cheval ? » Comme si sa durée de vie le définissait. « Les gens ne comprennent pas que lorsqu’il est décédé, c’était comme si on m’avait coupé les jambes ». Une image forte, reflet là encore de l’importance qu’un animal peut avoir dans la vie de son propriétaire. Et ce, quel qu’il soit : un passionné d’oiseaux, un cavalier qui perd son cheval ou encore un propriétaire dont le chat décède. « Le degré de souffrance ne dépend pas de la race ou la grosseur de l’animal, ni même de sa durée de vie,confirme la thérapeute Martine Golay Ramel. Certes, le lien s’approfondit dans le temps, mais la perte, elle, est liée à l’expérience personnelle. »

S’il est difficile de parler de cette peine autour de soi, c’est pourtant essentiel, selon Marina von Allmen. « Se taire ne fait qu'aggraver et intensifier son désespoir, compliquer et prolonger le processus de deuil. Des émotions enfouies et tues s'impriment au plus profond de notre être pour refaire surface régulièrement. » Et si son entourage ne comprend pas cette douleur, ou qu’il ne sait pas comment aider, mieux vaut se tourner vers le vétérinaire, un groupe de parole, un professionnel de l’accompagnement du deuil ou même un psychologue, pour ne pas avoir à surmonter seul cette épreuve.

Vivre un réel processus de deuil

Déni, colère, culpabilité, dépression, acceptation… Le deuil d’un animal comporte les mêmes étapes que celui d’un être humain. Des étapes qui ne se traversent pas forcément dans un ordre préétabli, comme l’explique Marina von Allmen. « Elles peuvent surgir en boucles et certaines peuvent même être "zappées", pour resurgir lors d’un autre deuil. »

D’abord, le déni. « Je ne voulais pas y croire, je me suis mise à hurler et à pleurer. C'était trop brutal, trop soudain », se souvient Jennifer. Retrouver son chat allongé dans l’herbe, mort écrasé, a été un choc assourdissant. « J'ai été dans un état second pendant quelques jours ». Selon Martine Golay Ramel, « pour beaucoup, l’animal de compagnie rythme le quotidien et sa mort déclenche une perte de repères ».

Une fois le choc passé, la colère et la recherche d’un responsable prennent souvent le dessus. « J’ai ressenti tellement de rancoeur contre l’automobiliste qui a écrasé mon chat et qui n’a même pas eu la décence de s’arrêter, » commente Souslik. Pour Camille, le plus insupportable a été pendant un certain temps de voir d’autres propriétaires avec leurs chevaux. « Je leur en voulais d’avoir la chance que leur cheval soit encore là. Pourquoi le méritaient-ils plus que Rock et moi ? » Mais le plus souvent, la colère éprouvée est dirigée contre soi-même et l’impression d’avoir failli à son animal fait culpabiliser.

Ne pas avoir été présent dans les derniers instants, l’avoir réprimandé quelques heures avant sa mort, ne pas s’être assez bien occupé de lui… Autant de raisons de se sentir coupable lorsque son animal décède. « C’est un passage quasi obligé », affirme Martine Golay Ramel. De son côté, la vétérinaire Marina von Allmen souhaite rassurer les propriétaires : « les animaux ne nous en veulent pas pour nos agissements ou nos manquements ». Mais même en sachant cela, difficile de ne pas se sentir responsable. Ophélie, qui, faute de place, a dû laisser sa chatte chez ses parents, s’en est terriblement voulu. « Elle s’est faite écraser en traversant la route. Je me dis qu’elle a dû se sentir abandonnée et qu’elle essayait peut-être de me rejoindre. Encore aujourd’hui, je me sens responsable. Je n’ai même pas pu lui dire au revoir. »

Ne pas avoir pu dire adieu est un regret qu’ont connu de nombreux propriétaires. « Il faut savoir que comme chez les humains,il y a des animaux qui attendent notre départ pour mourir, explique Marina von Allmen. D'autres, à l’inverse, désirent notre présence. Cela dépend du caractère de l'animal mais aussi de notre façon plus ou moins inconsciente de vouloir le retenir auprès de nous. » Une acceptation de la mort qu’a voulu montrer Norbertus à sa labrador Orit. « Elle a fait ses adieux à chaque membre de la famille, avant de se cacher. Mais je l'ai mise dans son panier, parmi nous tous. Le lendemain elle ne bougeait plus, elle s'était endormie sereinement. »

La phase de « dépression réactionnelle » pendant un deuil est probablement la plus difficile à surmonter. Au décès de son chat, Saloua a perdu tout intérêt pour ce qui l’entourait. « J'ai failli échouer dans mes études universitaires, je m'absentais tout le temps. Je n’avais pas le courage de quitter ma chambre. » Cet état dépressif ne doit pas être sous-estimé. Selon la vétérinaire Marina von Allmen, il est même nécessaire. « Cette étape permet de vraiment ressentir à quel point nous passons du vide et du désespoir à la reconnaissance de ce qu'il nous a été donné de vivre avec notre animal. » C’est ce sentiment de gratitude qui a permis à Camille d’accepter enfin la disparition de son cheval. « La douleur n’a finalement duré qu’un moment par rapport au bonheur d’avoir vécu cette belle histoire avec Rock. »

L’importance des rituels

Choisir comment disposer du corps de son animal aide également à mieux accepter son décès. Pauline a décidé d’enterrer son yorkshire sur le terrain derrière sa maison,« pour qu’il soit toujours près de nous ». Nadine a, elle, fait le choix d’être inhumée avec les cendres de sa chatte Isis. « Elle sera avec moi le jour où je partirai, et même après. » Quelle que soit la décision, il est conseillé de la prendre lorsque son animal est encore en bonne santé, afin de ne pas regretter une éventuelle décision précipitée au moment de son décès.

Effectuer un rituel, telles qu’une cérémonie d’enterrement ou encore l’écriture d’un poème, permet de faire face à la perte, mais aussi de rendre hommage à son compagnon. Après treize ans passés à ses côtés, Virginie a voulu honorer son chien en dispersant ses cendres sur son lieu de promenade préféré. « De cette façon, je sais qu'il est encore heureux là où il est. » De son côté, Francine, qui a perdu Cassiopée, sa chienne de 14 ans, a décidé de organiser une cérémonie. « À la date d’anniversaire de son adoption, je vais inviter quelques amis à une commémoration pendant laquelle je lirai un petit texte en sa mémoire, face à ses cendres. » Aurélie a, elle, préféré faire pousser une belle plante en l’honneur de sa lapine Sweety.

Reprendre un animal ?

Peur de l’oublier, de le trahir, de souffrir à nouveau… De nombreux propriétaires, comme Virginie, 38 ans, se sont dit qu’ils ne pourraient plus jamais avoir d’animal. « Je n'ai pas repris de chien car cela m'a fait trop de mal de  perdre Tchouk. C’était un vrai ami, comme il y en a peu. Il est irremplaçable. » Pour la vétérinaire Marina von Allmen, cette idée de « remplacement » n’a pas lieu d’être. « Reprendre un compagnon pour que ce soit le même que le précédent, ce ne serait ni rendre hommage à celui qui vient de nous quitter, ni accorder notre amour inconditionnel au nouvel arrivant. Le risque est d'en faire un animal de remplacement, condamné à ne pas se sentir à la hauteur. » Dans le cas des amoureux d’une race en particulier, il est conseillé de choisir un animal de couleur ou de sexe différents. Sans oublier que chaque animal a son caractère et ses particularités.

Quand reprendre un nouveau compagnon ? Cela dépend du ressenti personnel mais parfois aussi de la façon dont est décédé l’animal, comme l’observe Martine Golay Ramel. « Lorsque vous l’avez accompagné dans la maladie, ou la vieillesse, et l’avez vu décliner, il y a un processus de pré-deuil. Mais quand il s’agit d’un accident, le choc est si important qu’il n’est pas recommandé de reprendre un animal tout de suite. »

Si la douleur est forte pour le propriétaire, il ne faut pas oublier qu’elle l’est aussi pour les autres animaux de la maison, s’il y en a. « Ils viennent de perdre un véritable ami qui ne sera pas facilement remplaçable. Il s’agit de les aider eux aussi dans leur deuil », rappelle la vétérinaire. Ils peuvent avoir envie, ou besoin, d’un nouveau compagnon. En l’espace de six mois, Martine a perdu trois de ses quatre chiens, jeunes mais malades. Elle a senti le grand désespoir du dernier. « Il a très mal vécu leur départ, et, alors que je ne voulais plus reprendre d’autres chiens, il a fallu le faire. Sinon il se serait laissé mourir. Maintenant, il est apaisé et semble revivre. »

Selon la thérapeute Martine Golay Ramel, si la décision de reprendre un animal est si difficile, c’est parce que « pour beaucoup de propriétaires, elle rappelle que l’animal était un animal et non un être humain. Ce qui est très déstabilisant quand on a aimé son compagnon comme un ami, un frère ou un enfant. » Mais, malgré la douleur, il est difficile pour beaucoup d’amoureux des animaux de vivre sans eux. « Il faut savoir faire un deuil, quel qu’il soit, et avancer. Au fond, ce n’est pas parce qu’on a d’autres animaux qu’on remplace les précédents dans notre cœur, confie Caroline. On ne les oublie jamais. »


Source : http://www.psychologies.com/

 

Anne Dufourmantelle : “Les rêves sont comme une machine à résoudre les problèmes”

Par Le 25/11/2017

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Apparitions, présages… Nos rêves révèlent ce qui cherche à émerger chez nous et aident à nous remettre en question, nous indiquait, avant son tragique accident, la psychanalyste Anne Dufourmantelle.

Psychologies : Qu’appelez-vous l’intelligence onirique ?

Anne Dufourmantelle : Le rêve puise dans un réservoir illimité qui ne dépend pas que du moi, cette « petite lucarne », comme disait Freud. Il est relié à un soi perceptif beaucoup plus vaste qui englobe la mémoire de l’Histoire avec un grand H, celle de l’histoire personnelle et familiale du rêveur, sa perception des événements, de sa vie intrapsychique, de son corps (petites blessures, digestion, etc.). Nos rêves sont un fil à plomb qui nous relie à la vérité de notre être, comme cette ligne verticale que suit le plongeur en apnée et sur laquelle sont indiqués les stades de profondeur franchis. Le génie du rêve a cette capacité de vous ramener directement à vos 10 ans, vos 15 ans, vos 40 ans. Il peut même parfois présager de ce qui vient, ou s’enfoncer dans une mémoire familiale ou collective à laquelle la conscience n’a pas accès. Nous rêvons tous, le crocodile aussi. Mais les humains ont en plus la capacité de mettre leurs rêves en mots. Et à l’intelligence onirique vient s’ajouter celle du langage. Un rêve, quand il est raconté, prend encore une autre épaisseur : notre parole se teinte d’expressions qui vont en dire beaucoup sur les images qui nous ont traversés. Je pense à une patiente qui me parle d’elle, à 7 ans, dans un rêve. Cette petite fille a des nattes. Elle se décrit ainsi : « Elle a des tresses. » Il est important d’y entendre aussi la « détresse ».

Pourquoi incitez-vous vos patients à prêter attention à leurs visions nocturnes ?

Anne Dufourmantelle : Parce que les analyses avec rêves vont plus vite et plus loin grâce à cette capacité qu’a le rêve d’embrasser toutes les couches et tous les temps de l’inconscient. Parfois, un peu magiquement, le simple fait d’inciter le patient à se souvenir de ses rêves fonctionne… Mais parfois aussi, le simple fait de noter trois mots dans un petit carnet suffit à hameçonner un rêve et à le faire réapparaître au réveil. On peut aussi le fixer en prenant l’habitude de le raconter à quelqu’un. Ce n’est pas tout à fait la même chose que de l’écrire. Peut-être est-ce le fait de le déposer auprès d’un autre que soi ? Il y a aussi des périodes qui favorisent le (re)surgissement : les déménagements, les voyages, le fait de tomber amoureux… Chaque fois qu’il se produit des changements drastiques dans une existence, les rêves passent le mur de la censure. Tout ce qui détourne de l’habitude est propice à la rêverie, ainsi que tout ce qui est susceptible d’ouvrir notre canal interne : méditation, écriture… Certains de mes patients complètement bloqués ont commencé à se souvenir de leurs rêves en s’astreignant à une page d’écriture automatique tous les matins, en notant n’importe quoi, parfois le même mot sur toute une page.

Le rêve est-il un rébus ?

Anne Dufourmantelle : Un rébus à plusieurs entrées, oui. Sans solution unique. Le mystère reste. Mais parfois, une interprétation est saisissante, elle va nous reconnecter à une vérité. Nous le ressentons dans notre corps, dans notre psyché, dans l’allégement immédiat que cela procure. Parfois, le simple fait de noter ses rêves, de les confier, rouvre cette porte entre conscient et inconscient. Les rébus des rêves se servent de tout : des symboles, de l’image, du langage, du son, de l’affect – colère, peur, tristesse… Souvent, le rêve vient appuyer les intuitions du travail en analyse ou au contraire me chuchoter : « Là, vous faites fausse route, regardez donc par là. » À ce moment-là surgit une figure, une hypothèse, un événement où je me dis tout à coup : « Oh, mais la grand-mère ! Oh, mais le prénom ! Oh, mais pourquoi cet animal ? » C’est la boîte de Pandore.

Considérez-vous que les symboles qui surgissent ont un sens universel ?

Anne Dufourmantelle : Les grilles d’interprétation peuvent être simplistes, mais elles ne sont pas fausses. Je ne vois pas comment une personne qui baigne depuis sa naissance dans le langage pourrait ne pas être imprégnée par l’histoire des symboles. Leur signification dépasse chacun d’entre nous : la chevelure, la mer, la forêt… Chaque élément du rêve touche à un imaginaire commun, mais ensuite, bien sûr, ces symboles se colorent en fonction du récit personnel. Les signes sont parfois très élaborés. Par exemple, les chiffres qui apparaissent peuvent renvoyer à des signifiants cachés, des messages secrets, à des âges de la vie. Ce qui frappe, c’est la précision de l’inconscient : le message est tout sauf flou. Nous ne le trouvons pas toujours, mais je vous assure que si un chiffre apparaît dans l’un de vos rêves, c’est parce qu’il renvoie à quelque chose de précis.

Le rêve peut-il nous faire comprendre qui nous sommes et ce que nous ressentons ?

Anne Dufourmantelle : Oui, car il a une grande capacité à exprimer l’ambivalence : par exemple, nous ne savons pas toujours, quand nous sommes énervés ou fatigués, qu’en réalité nous sommes sans doute très en colère. Le rêve arrive et scénarise cette colère sous diverses formes – personnages menaçants, animaux sauvages, bagarres… Souvent, nous nous trompons sur nos désirs : dans les névroses habituelles, nous pensons vouloir quelque chose et être empêchés d’y parvenir par les autres, par la vie. Nous nous saisissons d’alibis, en trouvant des bénéfices secondaires à ces blocages. Et le rêve est là pour nous le signaler : il va par exemple nous plonger dans une situation dans laquelle nous ne souhaitons absolument pas être. Et pointer si parfaitement notre ambivalence que nous résistons souvent à son message. Il réapparaîtra de manière insistante, sous la même forme ou sous une autre, jusqu’à ce que nous l’entendions… ou pas. De ce fait, un rêve récurrent est toujours important.

Pourquoi est-ce libérateur de s’y intéresser ?

Anne Dufourmantelle : Parce que cela permet au pont entre conscient et inconscient de rester ouvert à des solutions inattendues. Nous passons notre vie à occulter des pensées angoissantes, des souvenirs pénibles, des choses qui ne cadrent pas avec l’image que nous nous faisons de nous-mêmes, notre moi idéal. Or l’une des tâches du rêve – et du cauchemar – est de nous y ramener, de nous obliger à considérer le négatif sans l’exclure. Même lorsque nous nous réveillons encombrés par un « mauvais » rêve, c’est une bonne chose, parce que ces images sont une mise en forme du symbolique. Ainsi, le rêve peut permettre d’éviter les passages à l’acte, les maladies, les accidents – ce qui peut arriver lorsqu’on n’écoute pas les messages de son inconscient. L’une des tâches du rêve, c’est de réinviter à sa table ce négatif et de le recevoir comme une part de nous. Quand quelque chose est complètement censuré ou innommable, le rêve effectue un travail de décantation. Il ouvre une première porte, puis le simple fait de le raconter en ouvre une autre. C’est comme une machine à résoudre les problèmes. Quand nous sommes à l’écoute du génie du rêve, une délivrance peut s’opérer.

Peuvent-ils être prémonitoires ?

Anne Dufourmantelle : Nous en avons des preuves : des témoignages de rêves laissés par des Allemands avant la Seconde Guerre mondiale1. Il me semble que tout analyste aura entendu des rêves prémonitoires, dans ses années de pratique, à plus ou moins grande échelle. Le caractère prémonitoire peut s’exercer sur une journée ou une année, sur une personne, une famille… Mais le phénomène reste inexplicable. Ce qui est troublant, ce sont les prémonitions sur les autres. C’est arrivé à l’une de mes patientes, pourtant très rationnelle. Souvent, dans nos rêves, les personnages sont une partie de nous-mêmes, mais il arrive qu’il s’agisse de quelqu’un d’autre. Nous savons que la perception déborde la conscience, que le corps a sa propre intelligence. Si l’inconscient se situe hors du temps, pourquoi n’aurait-il pas des accès temporels que nous ignorons ? Il y a également des témoignages de personnes restées en communication avec des proches disparus. Est-ce que cela relève du pur imaginaire ? Souvent, dans les deuils importants, le défunt reste très présent dans les rêves, puis il s’évanouit. Et parfois, au terme de plusieurs années, il revient, c’est alors que quelque chose, ce que l’on appelle assez lourdement « le travail du deuil », s’est fait. Un au revoir devient possible.

1. À lire sur ce sujet : Rêver sous le IIIe Reich de Charlotte Beradt (Payot).


Source : http://www.psychologies.com/

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Les médecins expliquent comment la randonnée change votre cerveau

Par Le 22/10/2017

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Bien qu’il puisse sembler évident qu’une bonne randonnée à travers une forêt ou une montagne peut purifier votre esprit, le corps et l’âme, la science est en train de découvrir que la randonnée peut réellement changer votre cerveau … pour le mieux !

Ce médecin, et tant d’autres d’ailleurs, sont en accord avec le fait que la randonnée en nature sauvage et rustique est une thérapie à part entière pour l’esprit, l’âme et le corps.

Voir plus : Les médecins nous expliquent à quel point la randonnée peut transformer notre cerveau

« La paix de la nature va s’infiltrer en vous comme les rayons du soleil pénètrent les arbres. Le vent va vous insuffler sa fraîcheur, et les orages leur énergie, en même temps que les soucis tomberont comme les feuilles d’automne », a écrit John Muir dans Our National Parks. De toute évidence, John Muir comprenait la valeur fondamentale de passer du temps dans la nature.

Comme John Muir, nous sommes nombreux à reconnaître que randonner dans la nature est bon pour le corps, l’esprit et l’âme. Marcher dans les bois tout en observant les oiseaux et les feuillages colorés, en humant l’arôme des épicéas et des pins, et en écoutant le murmure apaisant d’un cours d’eau, tout cela dégage notre esprit et nous nous sentons bien. Heureusement, les médecins sont d’accord. Les études successives montrent que passer du temps à randonner dans la nature procure de multiples avantages pour la santé mentale.

La randonnée dans la nature réduit la rumination

Ceux qui ruminent ou se concentrent sur trop de pensées négatives sur eux-mêmes peuvent présenter de l’anxiété, la dépression et d’autres problèmes tels que des crises de boulimie ou un trouble de stress post-traumatique. Dans une étude récente, les chercheurs ont voulu savoir si passer du temps dans la nature affecte la rumination et ils ont constaté qu’une excursion dans la nature diminue ces pensées négatives obsessionnelles.

Dans cette étude, les chercheurs ont comparé la rumination signalée par des participants qui ont fait une randonnée dans un environnement urbain ou dans la nature.  Ils ont trouvé que ceux qui avaient marché pendant 90 minutes dans la nature, un environnement de prairies près de l’Université de Stanford, ont signalé moins de rumination et avaient également réduit l’activité neuronale dans le cortex préfrontal subgenual, qui est associée à la maladie mentale. Ceux qui avaient marché dans un environnement urbain n’avaient pas éprouvé les mêmes bienfaits.

Ces chercheurs expliquent que notre monde devient de plus en plus urbain et que l’urbanisation est liée à la dépression et d’autres formes de maladie mentale. Visiblement, nous éloigner d’un environnement urbain et passer du temps à l’extérieur où il y a moins de stress mental, moins de bruit et moins de distractions peuvent être bénéfiques pour notre santé mentale.

La randonnée en se déconnectant de la technologie stimule la résolution créative de problèmes

Selon une étude de Ruth Ann Atchley et David L. Strayer, la résolution créative de problèmes peut être améliorée en se déconnectant de la technologie et en renouant avec la nature. Dans cette étude, les participants ont randonné dans la nature pendant environ quatre jours et ils n’étaient pas autorisés à utiliser la technologie. On leur a demandé d’effectuer des tâches exigeant de la créativité et la résolution de problèmes complexes. Ils ont constaté que les participants immergés dans la nature avaient des performances accrues de 50 % dans les tâches de résolution de problèmes.

Les chercheurs indiquent que la technologie et le bruit des zones urbaines accapare sans cesse notre attention et nous empêche de nous concentrer, ce qui affecte nos fonctions cognitives. C’est pourquoi lorsque nous nous sentons submergés par les contraintes de la vie urbaine et les connexions 24 /7, les balades dans la nature peuvent être une puissante médecine.  Elles réduisent notre fatigue mentale, apaisent notre esprit et nous aident à penser de façon créative.

Elles peuvent améliorer le TDAH chez les enfants

Les enfants souffrant de TDAH ont généralement du mal à rester concentrés, sont facilement distraits, présentent des troubles d’hyperactivité et ont de la difficulté à maîtriser leurs impulsions.

Cela peut être déconcertant parfois d’élever des enfants souffrant de ce trouble. Néanmoins, de belles nouvelles sont venues du monde médical et scientifique. Dans une étude menée par Frances E. Kuo, PhD et Andrea Faber Taylor, PhD, les chercheurs ont constaté que l’exposition de ces enfants à des « activités de plein air et dans la nature » réduisait leurs symptômes.  Ainsi, selon cette étude, les bénéfices de l’exposition à la nature peuvent s’étendre à toute personne ayant les symptômes d’inattention et d’impulsivité.

Les médecins concluent que de simples changements impliquant des activités dans la nature peuvent améliorer l’attention. Par exemple, même s’asseoir plus longtemps devant une fenêtre ouvrant sur un paysage de verdure, participer à une après-midi de balade dans la nature ou simplement jouer au ballon dans le parc peuvent soulager les symptômes du TDAH.

La randonnée dans la nature est un excellent exercice, qui stimule l’intelligence

Nous avons tous entendu l’expression un esprit sain dans un corps sain. La randonnée dans la nature est une excellente forme d’exercice et cela peut brûler entre 400 et 700 calories en une heure, selon la difficulté de la marche. L’avantage supplémentaire est que la randonnée n’est pas aussi contraignante pour nos articulations que d’autres formes d’exercice comme la course. De plus, il est avéré que ceux qui font de l’exercice à l’extérieur sont plus susceptibles de se tenir à leurs programmes d’exercice, ce qui rend la randonnée un excellent choix pour ceux qui envisagent d’intégrer l’exercice dans leur vie quotidienne.

L’esprit et le corps sont naturellement reliés. L’exercice aide à maintenir les cellules de notre cerveau nourries et en bonne santé. En fait, selon les chercheurs de l’Université de Colombie Britannique, l’exercice en plein-air peut même améliorer la mémoire et les capacités cognitives. Dans l’étude, ils ont trouvé que l’exercice en plein air augmente le volume de l’hippocampe chez les femmes âgées. L’hippocampe est une partie du cerveau associée à la mémoire spatiale et épisodique.

Non seulement l’exercice améliore la capacité cognitive et peut prévenir son déclin, comme montré dans l’étude, mais il peut également réduire le stress et l’anxiété, stimuler l’estime de soi, et libérer des endorphines (les hormones du bien-être). Il est étonnant qu’une activité physique aussi simple et bon marché que la randonnée puisse procurer tant de bienfaits pour la santé mentale.

La randonnée est maintenant prescrite par les médecins

Est-ce que votre médecin vous a déjà dit de « faire une randonnée » ? Ce n’est pas une phrase que nous voulons spécialement entendre, surtout de la part de notre médecin, mais ils ont en fait notre bien-être à l’esprit. Les médecins progressistes sont maintenant conscients que les gens qui passent du temps dans la nature souffrent moins de stress et jouissent d’une meilleure santé physique.

Selon WebMD, de plus en plus de médecins écrivent « des ordonnances de nature » ou recommandent « l’écothérapie » pour réduire l’anxiété, améliorer les niveaux de stress et pour lutter contre la dépression. De plus, les prescriptions de nature deviennent mieux acceptées par les fournisseurs traditionnels de santé car de plus en plus de recherches montrent les bienfaits de l’exercice et du temps passé dans la nature.

L’Etat de Californie est traditionnellement l’un des Etats les plus progressistes dans le domaine de la santé alternative. A titre d’exemple, l’Institute at the Golden Gate a mené un combat pour promouvoir l’écothérapie grâce à son initiative « Healthy Parks Healthy People (HPHP) ». Dans ce programme, des organisations associatives travaillent avec les professionnels de santé pour améliorer la santé de leurs parcs, et pour promouvoir l’utilisation des parcs en tant que moyen de regagner la santé pour les personnes qui y viennent.

Comment commencer à faire de la randonnée ?

Faites ce que vous avez à faire jusqu’à ce que vous puissiez faire ce que vous voulez faire

Heureusement, la randonnée est l’un des sports les plus faciles et les moins chers, et c’est amusant et bénéfique pour toute la famille. Si vous êtes juste un débutant, n’envisagez pas l’ascension du Mont-Blanc ou le GR20 en Corse. Vous pouvez commencer par des petites marches. Découvrez les sentiers locaux de petite randonnée et assurez-vous d’entreprendre une distance sûre et confortable. Vous pouvez trouver des guides de randonnée par régions, ou en ligne, et il existe des applications smartphone pour vous aider à trouver les meilleurs sentiers pour votre niveau et vos intérêts.

Assurez-vous de porter des chaussures de randonnée robustes et appropriées pour le terrain. Lorsque vous les choisissez, n’hésitez pas à parcourir le magasin de long en large plusieurs fois afin d’éviter que les chaussures vous blessent par la suite. Selon les goûts, vous pouvez envisager des bâtons de marche, qui pour certains réduisent le stress sur les genoux, augmentent la vitesse et améliorent la stabilité. Prévoyez autant de vêtements que nécessaire selon la météo, et portez des vêtements aérés en tissus qui laissent la transpiration s’évacuer et permettent de rester au chaud. Utilisez des lunettes de soleil et un chapeau pour vous protéger du soleil. Restez hydraté et amusez-vous !


L’étude : étude  publiée dansProceedings of the National Academy of Sciences

Sources : lifehack.org

 

Si vous vous êtes déjà réveillé en étant incapable de bouger, voilà ce qui est arrivé …

Par Le 21/10/2017

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Connaissez-vous paralysie du sommeil ?

C’est le sentiment d’être conscient, mais en étant incapable de faire le moindre mouvement.

Nous en avons surement tous fait l’expérience à un moment ou un autre de notre vie. Vous somnolez, ou vous venez de vous réveiller, vous vous retournez sur le côté… mais vous n’y arrivez pas. Vos bras et vos jambes sont comme du ciment, collés au lit, et vous ne pouvez pas bouger.

Et puis soudainement, vous sentez quelque chose bouger dans l’obscurité de votre chambre. Ça commence dans un coin, et se rapproche doucement de votre lit. Vous essayez d’appeler à l’aide, de crier que quelqu’un vienne vous aider, mais vous n’y arrivez pas. Vous pouvez même commencer à vous étouffer alors qu’une main s’enroule doucement autour de votre gorge.

La paralysie du sommeil se produit lorsque vous passez entre les stades de veille et de sommeil, en général au moment où vous vous endormez ou au réveil.

Au cours de ces transitions, vous pouvez être incapable de bouger ou de parler.

Cet état peut s’étendre de quelques secondes à plusieurs minutes.
Lors d’une paralysie de sommeil, certaines personnes peuvent également ressentir une pression ou un sentiment d’étouffement.

Dans les pires cas, les symptômes d’une paralysie de sommeil peuvent être accompagnés par une hallucination.
La majorité des victimes d’hallucination disent voir quelque chose bouger dans l’obscurité.

Le plus effrayant est que face à cette vision, vous êtes incapable de bouger, ou même de crier.

Pourquoi le corps fait cela ?

Le Docteur Michael J. Breus nous explique que lors de mouvements oculaires rapides (REM), le corps rentre dans état de paralysie connu : l’atonie musculaire.

Il s’agit d’une partie normale de la phase de sommeil, quand les principaux groupes musculaires et la plupart des muscles volontaires sont paralysés.

Une fonction importante de cette paralysie est de protéger le corps contre les blessures pendant le sommeil.

Sans les effets paralysants de l’atonie musculaire, nous pourrions agir physiquement en réponse à nos rêves.

Dans certains troubles du sommeil, y compris les troubles du comportement, la paralysie normale du sommeil paradoxal ne fonctionne pas comme il se doit, et les gens agissent physiquement – parfois de manière agressive et violente – dans le sommeil.

Elle peut être causée par les différents facteurs suivants :

– Le manque de sommeil
– Les facteurs génétiques
– Le stress
– L’anxiété
– Un changement des heures de sommeil
– Des troubles mentaux (par exemple les troubles bipolaires)
– L’utilisation de certains médicaments
– L’abus de substance illicite

Comment faire face à la paralysie du sommeil ?

1. Relaxez-vous

Il est préférable de ne pas combattre la paralysie du sommeil.
La combattre pourrait aggraver vos symptômes et votre peur.
A la place, Apprenez à respirer profondément.

2. Essayez de bouger des parties de votre corps

Tout comme lorsque vous êtes dans un mauvais rêve, en essayant de serrer vos poings consciemment ou de remuer les orteils, vous pouvez sortir de la paralysie du sommeil.

En outre, la plupart des sensations d’oppression et de paralysie surviennent dans votre ventre, votre poitrine et votre gorge, c’est pourquoi vous devriez avoir plus de contrôle sur vos extrémités.

3. Réveillez-vous

Une fois que vous êtes sorti de la paralysie du sommeil, allez dans la salle de bain et mettez de l’eau froide sur votre visage.
Si vous restez au lit sans rien faire, il y a des chances que vous retombiez dans une paralysie du sommeil.
Au lieu de cela, réveillez-vous et commencer lentement à vous rendormir.


Source incapable de bouger : apr-news.fr et  Lemag Thérapeutes

 

Quelques clés à respecter pour suivre un chemin de transformation et d’évolution personnelle (par Jacques Salomé)

Par Le 15/10/2017

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Ce qui déclenche, invite ou pousse à un changement personnel, ce qui provoque un mouvement intérieur vers une recherche de mieux-être, un éveil ou plus simplement une meilleure affirmation de soi ou encore, ce qui nous à des relations plus vivantes et créatrices avec autrui, est souvent lié au surgissement d’un événement traumatique : maladie ou accident grave, perte d’un être cher, séparation ou rupture. Mais ce peut être aussi l’impact d’une rencontre, d’une lecture, l’élan d’un coup de cœur ou d’un mouvement indignation, la stimulation d’un échange impromptu qui va nous rejoindre dans une partie de nous mêmes qui aspire à se réaliser, à se développer ou à se réconcilier avec quelque chose d’essentiel et de vital.

Dans ma pratique de formateur, voici quelques balises qui m’ont aidé à mieux comprendre comment pouvait se vivre une formation aux relations humaines et aboutir à une démarche de changement personnel.

Quelques clés à respecter pour suivre un chemin de transformation et d’évolution personnelle :

• La prise de conscience n’est pas suffisante. « J’ai pris conscience, disait ma grand mère, que le pneu arrière de mon vélo était crevé, c’est curieux, cela ne l’a pas regonflé ! » Au delà de la prise de conscience il conviendra de se donner des moyens, de s’appuyer sur une démarche suivie dans la durée, avec son rythme, son tempo et ses cycles.

• Toute démarche de transformation suppose, ce que j’appelle “le nettoyage de la tuyauterie relationnelle” avec les personnes significatives de notre histoire. Cela peut commencer avec une remise en cause et une clarification, une cure d’assainissement des relations avec nos parents, mais aussi avec quelques personnages clés de notre enfance : professeurs, parentèle, fratrie…

Au delà de ce travail d’archéologie familiale, il conviendra de mieux repérer quelques uns des dysfonctionnements relationnels (répétitions négatives, comportements atypiques, réactionnels c’est-à-dire susceptibilités, zones d’hypersensibilité – elles nous parlent de nos blessures anciennes et les traces de nos traumatismes perdus…) qui nous habitent et polluent nos relations à autrui.

Après les tâtonnements du début, il convient à un moment donné de choisir une démarche, ou une voix/voie, un outil de travail sur soi, sur lequel s’appuiera la démarche et qui lui permettra d’acquérir une cohérence et un suivi dans une certaine rigueur. Cela suppose le plus souvent un accompagnant (qu’il soit thérapeute, formateur, guide spirituel ou maître dans l’art qui est le sien) auquel celui qui s’engage dans un processus d’évolution donnera accordera sa confiance.

Au cours de ce travail sur soi, il conviendra de développer une confiance suffisante en soi pour faire face aux résistances de l’entourage, des proches, pour affronter les critiques, jugements de valeurs, disqualifications diverses et variées (de soi ou de la démarche) ou rejets de sa propre personne.

Apprendre à résister aux multiples tentations de se disperser qui peuvent nous inciter à aller voir si “le gazon du voisin est plus tendre et plus vert que le nôtre !

Après une phase de dépendance, qui peut se traduire par un enthousiasme, une passion ou un prosélytisme excessif et souvent irritant pour ceux que l’on croise : « Tu devrais faire cette démarche c’est formidable, tu verras tu vas découvrir des choses extraordinaires ! »… une re-centration sur soi sera nécessaire.

Après avoir découvert et intégré quelques repères de base, il conviendra de pratiquer au quotidien. Ce sera mettre en application ses découvertes, apprendre à se positionner autour de quelques ancrages et références clés, les laisser prendre leur place et leur forme en nous, autrement dit attendre en les laissant mûrir et croître (attendre ici dans le sens de “attendre un enfant” et non pas “d’attendre un train sur un quai de gare”).

Dans ce domaine, les valeurs qui sont les miennes aujourd’hui ont pour nom :

respect de soi (ne pas me laisser définir par l’autre)

affirmation (me positionner)

responsabilisation (c’est à moi de prendre en charge ce qui m’arrive)

tolérance (acceptation des différences et de l’unicité)

relativité (mes croyances peuvent être remises en question) et

compassion (en m’appuyant sur l’amour et la confiance que je peux avoir en moi, pouvoir offrir de l’amour à ceux qui m’entourent et qui peuvent l’accepter)


Source : évolution personnelle : /www.j-salome.com/

Les chats et les chiens peuvent-ils voir les esprits ?

Par Le 06/08/2017

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La science confirme qu’ils peuvent voir des fréquences que nous ne voyons pas
 
Il a été récemment porté à mon attention que même la science dominante reconnaît que les chats, les chiens et les autres animaux peuvent voir des fréquences que les humains ne peuvent même pas apercevoir.
 

Après avoir lu sur le sujet, c’est d’une certaine manière logique scientifiquement et spirituellement. C’est vraiment simple : l’explication scientifique est que les chats et les chiens peuvent voir la lumière UV et quelques autres rayons, que les rétines humaines n’ont pas la possibilité de voir.

On croyait auparavant que tous les mammifères avaient des yeux semblables aux humains, incapables de voir les rayons UV, mais des preuves scientifiques suggèrent que de nombreux mammifères en sont capables.

Une étude menée il y a quelques années par des biologistes à l’université de la ville de Londres, au Royaume-Uni, a fourni des preuves de ce différentiel entre espèces.

Selon Pet MD :

« Avez-vous déjà cru que votre chat ou chien observe quelque chose que vous ne voyez pas ? Eh bien, vous avez raison, selon une nouvelle étude. On pense que les chats, les chiens et les autres mammifères voient dans la lumière ultraviolette, ce qui ouvre un monde totalement différent de celui que l’on connait, explique l’étude.

La lumière UV est la longueur d’onde au-delà de la lumière visible du rouge au violet que les humains peuvent voir. Les humains ont une cornée qui empêche les UV d’atteindre la rétine. On pensait auparavant que la plupart des mammifères avaient des cornées similaires aux humains.

Les scientifiques ont étudié les cornées de mammifères morts, y compris les chats, les chiens, les singes, les pandas, les hérissons et les furets. En recherchant la quantité de lumière qui passe à travers la cornée pour atteindre la rétine, ils ont conclu que certains mammifères peuvent réellement voir les rayons UV, contrairement à ce que l’on croyait auparavant. »

Cependant, je crois qu’il y a quelque chose de plus à ce phénomène qui se penche sur le domaine métaphysique.

Ma petite sœur et moi avons eu des expériences où nos chats voient des choses qui ne sont pas là. Ils battent l’air avec leurs pattes, observent attentivement dans le vide, suivent on ne sait quoi du regard pendant plusieurs secondes et font des bruits étranges.

Le moment le plus intense qui s’est passé était juste après la mort de mon grand-père. Notre chat nommé Double Stuff battait l’air, miaulait très étrangement et poursuivait quelque chose autour de la pièce, essayant de sauter dans l’air, en regardant cette chose sur le plafond.

C’était presque comme si un esprit ou une entité flottait au plafond et seul le chat pouvait le voir.

Il n’y avait pas de lumière UV différente dans ma chambre quand le chat l’a fait : alors, pourquoi essayait-il de chercher des choses invisibles à ce moment-là ?

Ensuite, il y a quelques semaines, ma sœur a vécu une expérience bizarre où elle ressentait la présence de personnes, un phénomène généralement signalé par des personnes qui souffrent de paralysie du sommeil.

Lorsqu’elle a vu ces entités autour de la maison la nuit, le chat a commencé à s’agiter étrangement et semblait effrayé. Il a miauler et fait les mêmes choses étranges comme parfois.

Pensez-vous que d’autres entités existent autour de nous, tout comme les rayons ultraviolets existent autour de nous et nous ne pouvons pas percevoir et que seuls certains animaux sont conscients d’eux ?


Source : The Mind Unleashed


 

Les Secrets de l’énergie des arbres

Par Le 31/07/2017

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Savez vous que l’on peut se connecter à un arbre ?

La sylvothérapie est une pratique ancienne venue du Japon pour diminuer le stress et l’anxiété par la proximité ou le contact des arbres.

En parallèle de ces propriétés apaisantes, il est possible de se « connecter » à un arbre pour recevoir de lui de l’énergie !

Lorsque je me promène en forêt, il m’arrive parfois de me « recharger » en entourant un grand arbre avec mes bras.

Je choisis un bel arbre, qui m’attire et avec lequel j’ai envie d’entrer en contact
Je l’entoure, et me place mentalement en état d’accueil
une communication se crée.. nous entrons en résonance..
Il me donne de l’énergie vitale… c’est un moment fort de communion.

Tout le monde peut il le faire ?

La réponse est OUI !

Voici comment se connecter à un arbre :

Allez vous promener en forêt, de préférence seul
Choisissez un bel arbre, une confiance doit s’établir à la vue de l’arbre choisi
Approchez vous vers son tronc et avant de le toucher demandez mentalement à l’arbre
de vous aider.
Placez vos mains dessus, votre front peut aussi faire contact avec l’écorce
Il n’est pas nécessaire d’entourer l’arbre, placez simplement vos mains en contact dessus
Fermez les yeux, faites le vide dans votre esprit, relaxez vous, écoutez les bruits subtils de la nature.
Rester ainsi ( entre quelques secondes et 2mn) puis remerciez l’arbre et reprenez votre marche en forêt, si possible en conscience. (La marche consciente est également très bénéfique et permet d’augmenter votre niveau vibratoire.)

Les arbres sont des capteurs naturels d’énergies cosmo-telluriques :

– Énergie cosmique, captée par les branches

– Énergie tellurique, captée par les racines

L’arbre agit donc comme un lien entre la terre et le ciel.
Lorsque l’on entre en contact avec un arbre, c’est le même principe que la radiesthésie, il s’établit une connexion entre vous et l’arbre, grâce à l’énergie de la nature.

Les humains sont aussi des capteurs d’énergie, placé comme les arbres entre le sol et le ciel nous sommes baignés en continu par des courants cosmiques et telluriques qui nous traversent et permettent la communication entre notre esprit et la matière.

Attention :
Ne choisissez pas un arbre malade, car, ayant besoin d’énergie, il prendrai la votre, et cela vous fatiguerai au lieu de vous donner de l’énergie.


Voir aussi : La science prouve qu’étreindre des arbres est bon pour la santé

(Source : a été publiée dans énergies par Argos)

Source :  http://www.reikiland.info/blog/

29 Lois Karmiques Universelles !

Par Le 16/07/2017

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29 lois du Karma ressenties universellement mais qui sont souvent ignorées !

La majorité des gens connaissent la plus grande loi du karma. 
Leur philosophie morale reflète celle de la règle d’or. 
Faites aux autres ce que vous voudriez que l’on vous fasse. 
Vous récoltez ce que vous semez.
L’énergie que vous mettez dans l’univers, positive ou négative, vous sera renvoyée. 
Cette pensée sert de pilier à presque toutes les grandes religions. 
En fait, de nombreuses personnes non religieuses vivent des vies morales et admirables par cette seule pensée.


1. Si nous nous accrochons à nos vieilles habitudes et à nos sentiments, nous nous empêchons d’en développer de nouveaux.
2. Nous apprenons vraiment une leçon uniquement une fois que nos mots, nos pensées et nos actions sont tous en phase.
3. Si nous nous concentrons sur notre propre moralité et notre spiritualité, la négativité se fondra dans le contexte.
4. Nous ne pouvons pas ressentir la cupidité et la paix en même temps.
5. Les petites actions se répercutent souvent dans l’univers de manière croissante. Soyez conscient de tout ce que vous faites, même si cela semble insignifiant.
6. Pour accomplir quelque chose d’excellent et d’intéressant, vous devez d’abord accomplir chacun de ses plus petits composants.
7. Ce que vous donnez à votre travail, vous le donnez à l’humanité dans son ensemble.
8. La valeur de votre travail est dans l’énergie et l’attention que vous avez mis dedans.
9. Nous continuerons à souffrir de la même manière jusqu’à ce que nous apprenions la leçon que nous sommes censés apprendre. Ensuite, nous aurons les outils dont nous avons besoin pour briser le cycle.
10. Vivre dans le passé ou dans l’avenir peut nous faire manquer le présent.
11. Ce que vous refusez d’accepter perdurera et s’intensifiera.

12. Vos récompenses seront proportionnelles à vos efforts.
13. Le changement vient de l’intérieur. Nous ne pouvons pas compter sur d’autres personnes pour nous corriger. Nous seuls avons ce pouvoir.
14. Nous n’avons pas le pouvoir de changer les autres. Nous pouvons seulement nous changer.
15. Le changement extérieur commence par un changement intérieur.
16. Si vous n’êtes pas votre être le plus authentique, vous manquez la vie pour laquelle vous étiez vraiment destiné.
17. Nous devons créer le changement que nous voulons voir en nous-mêmes. Nous pouvons le faire grâce à nos mots, nos pensées et nos actions.
18. La vraie joie résulte d’un travail acharné, de patience et de sacrifice.
19. Lorsque nous voyons quelqu’un comme inférieur, nous trahisons nos propres lacunes.
20. L’énergie et l’amour que vous mettez dans vos relations vous seront renvoyés. Ils ne seront peut-être pas renvoyés par la personne que vous aimez, mais ils seront renvoyés par l’univers.
21. Ce que vous donnez à une autre personne, vous le donnez à l’humanité dans son ensemble.
22. Rien ne se fait à moins que vous ne commenciez. Même lorsque la première étape est la plus petite, c’est la plus importante.
23. Votre amour, votre énergie, votre travail acharné et votre inspiration contribuent à l’humanité dans son ensemble. L’univers vous récompensera pour ces efforts.

24. Pour grandir, nous devons être ouverts au changement.
25. Apprenez de votre passé et faites de votre mieux dans le présent. Cela garantira un avenir plus brillant.
26. Nous sommes les seuls responsables de notre bonheur.
27. Nous devenons une partie de notre environnement. Notre énergie laisse son empreinte sur nos compagnons et notre environnement, pour le meilleur ou pour le pire.
28. Nous devenons ce dans quoi nous sommes immergés. Notre culture et nos compagnons laissent une trace sur notre âme, pour le meilleur ou pour le pire.
29. Lorsque nous voyons un ennemi, nous agissons dans l’ignorance de la plus grande vérité.

Ces lois du karma sont des règles que nous connaissons au fond de nous, mais nous avons tendance à les oublier trop souvent. 
Nous oublions de vivre spirituellement au profit des réalisations matérielles.


Source : http://www.espritsciencemetaphysiques.com/lois-du-karma.html 

3 choses que l’on ne vous dit pas sur la loi de l’ Attraction

Par Le 29/06/2017

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« Il n’y a que deux types de gens. Ceux qui croient qu’ils sont une victime du monde et ceux qui comprennent qu’ils sont dans le monde. »- Alan Watts

La plupart des gens ignorent à quel point ils sont puissants et même s’ils en ont conscience, ils ne savent pas par où ils doivent commencer ou comment créer la vie qu’ils méritent. Trop souvent, nous sommes coincés dans des schémas de pensée répétitifs. Un cycle de négativité a été câblé dans notre cerveau; manifestant l’idée que tout ce qu’il y a dans le monde nous arrive, au lieu de créer un monde où tout arrive pour nous.

Prenez les miracles par exemple. Il est facile de croire que lorsqu’un événement miraculeux ou inexpliqué se produit,  ce n’est rien de plus que le fruit du hasard. C’est parce que nous sommes connectés pour répondre à l’extérieur. En donnant notre pouvoir, nous réagissons à un événement comme un événement extérieur au lieu de prendre la responsabilité de notre propre manifestation créative.

Dans une étude dirigée par Richard Davidson, un neuroscientifique de renommée mondiale de l’Université du Wisconsin, ses recherches ont révélé que nos pensées ont toujours un impact direct sur toutes nos situations quotidiennes, car nous manifestons les idées que nous choisissons de visualiser et qui retiennent notre attention. Ce qui confirme la philosophie spirituelle connue depuis longtemps, que nous sommes des participants perpétuels et co-créateurs, de notre propre réalité quotidienne.

Davidson a collaboré avec un Dalaï Lama du Tibet, qui a amené huit moines bouddhistes (certains de ses méditants les plus accomplis) pour qu’ils participent à des EEG et des IRMf du cerveau.

Tout au long des tests, on a demandé à chaque moine de se concentrer sur un sujet précis comme la compassion, la joie ou le bonheur. Les résultats ont confirmé que selon où vous concentrez votre attention, vous changerez physiquement l’existence, la direction et le comportement des particules subatomiques dans notre cerveau.

Les EEG ont enregistré des ondes gamma extrêmement puissantes dans le lobe frontal (le cortex préfrontal) , laissant les scientifiques perplexes et stupéfaits. Est-ce que nos pensées créent vraiment notre propre réalité?

Le Dr Joe Dispenza pense que oui, il note que les moines dans l’étude ont fait 40.000 heures de méditation concentrée, en se concentrant sur une pensée unique.

« Ces moines méditaient depuis 40 ans. Chacun d’entre eux maîtrisait ce que l’on surnomme l’art de l’ observation ou ce que la science désigne simplement comme l’attention que l’on porte! « 

Pourquoi est-ce si important ?

Vous voyez, l’être humain perd sa capacité d’attention entre 6 et 10 fois par minute et quand nous perdons nos compétences de concentration, les particules subatomiques ne font pas attention à notre esprit.

Donc, essentiellement, plus vous vous concentrez longtemps, plus vous augmentez votre capacité de manifestation. Dans l’ensemble, pour que la loi de l’attraction fonctionne pour nous, nous avons besoin de comprendre comment notre corps et notre esprit sont liés l’un à l’autre et ce que nous devons faire exactement, pour que nos pensées puissent devenir la réalité que nous choisissons.


Voici les directives du médecin :

3 choses que l’on ne vous dit pas sur la loi de l’Attraction :

1. Commencez à créer de nouvelles connexions

Nous créons de nouvelles connexions dans notre cerveau grâce aux connaissances acquises par les informations, la philosophie, et les études. Chaque fois que nous nous lançons dans l’apprentissage, nous créons une nouvelle connexion neurologique. La mémoire conserve la connexion et avec la répétition les neurones conservent la relation.

La loi de l’attraction fonctionne ainsi de la même façon. Si tous les jours, pendant deux semaines, vous avez passé deux heures à méditer en vous concentrant sur une seule pensée comme, la meilleure version de vous-même ou le plus heureux que vous pourriez être, vous formeriez alors votre cerveau et le mémoriseriez.
En répétant cette version ultime de vous-même, le cerveau enregistrera alors ces pensées et le lobe frontal le saisira, l’enregistrant dans sa mémoire projetant ainsi la personne que vous deviendrez dans le futur.

2. Recâblez votre cerveau

À chaque instant, les cinq sens captent les informations et envoient de nombreuses données vers le cerveau à travers les cinq voies. Les neurones dans le cerveau stimulent ensuite les neurotransmetteurs, qui nous donnent des émotions et des sentiments fondés sur ces cinq voies d’information.

Il est prouvé que chaque fois que vous avez une pensée positive ou négative, vous créez une réaction chimique dans le corps. Parce que les sentiments et les émotions sont la finalité de toute expérience, réelle ou imaginaire; lorsque nous n’avons aucune nouvelle pensée, nous continuons à ressentir la même chose.

Plus nous nous accrochons à une pensée, plus nous maintenons la probabilité de sa manifestation future qu’elle soit positive ou négative. Si nous nous accrochons à des formes de pensées négatives, nous pouvons changer ces formes de pensée en introduisant de nouvelles pensées positives qui changeront la chimie dans notre corps. Pourtant, comme avec toute dépendance, le corps n’aime pas le manque et envoie un signal au cerveau. C’est pour cette raison qu’il est si difficile de briser les schémas de pensée négative et que nous continuons à vivre en fonction des dépendances passées.

Ainsi, c’est à travers nos propres pensées, que nous pouvons changer la chimie dans notre corps qui nous permet de briser ces dépendances émotionnelles et nous libérer de ces mêmes cycles négatifs.

3. Assurez-vous que votre corps soit au service de votre esprit

Nous existons dans une société où l’esprit est au service du corps qui nous oblige à vivre notre propre destinée génétique où rien ne se produira.

Pour manifester notre propre réalité, nous devons retirer notre programmation automatique et nous reconnecter pour que notre corps soit au service de notre esprit et non pas l’inverse.

Par exemple, « quand vous vous sentez incertain vous commencez à penser à la façon dont vous vous sentez. Ensuite, vous commencez à ressentir la façon dont vous pensez et le sentiment devient le moyen de réflexion. Lorsque cela se produit, l’esprit s’immerge dans le corps et vous commencez à penser comme un corps et non comme un esprit; cela devient votre état d’être.  » – Dr Joe Dispenza

Dans cette situation, vous ne pouvez penser à rien d’autre qu’à la façon dont vous vous sentez et si vous vous sentez mal, vous avez des pensées négatives. Lorsque nous réussissons à rompre ce cercle vicieux, nous pouvons alors commencer à penser en tant qu’esprit, devenir un être conscient et devenir le créateur de notre propre vie.

Ainsi, lorsque vous changerez vos pensées, vous CHANGEREZ votre vie.


Sources :http://isoulscience.com/2015/05/the-science-of-awakening/

Mes cotons à démaquiller lavables

Par Le 28/05/2017

Ce matin en ouvrant mon placard de salle de bain, je suis restée contemplative en voyant ma pile de gants de toilette dont je ne me servais pas !

Du coup, je me suis demandée ce que je pouvais en faire et comment les recycler ! Il me tient de plus en plus à coeur de recycler ou détourner l'usage d'un objet ou d'autre matériel.

Et l'idée du coton à démaquiller lavable m'a fait tilt .....

Je n'ai pris aucun tutoriel, car j'ai décidé de me faire confiance et de laisser venir à moi l'inspiration. Sachez tout de même que je ne sais ni coudre, ni bricoler à la base et que du coup, ce que vous pouvez voir passer est souvent une grande première pour moi, ne cherchant surtout pas la perfection. Perfection qui entre nous, n'existe pas !


Donc voici en quelques lignes comment je m'y suis prise pour faire mes cotons lavables :

Etape 1 : choisir tout d'abord les gants que vous voulez recycler :D 

18741985 10213217013564692 853524508 n

Etape 2 : Pour ma part, j'ai pris en gabarit un coton jetable que j'avais dans mon placard et dont la taille me convenait. 

18762510 10213217013604693 345718910 n   18788391 10213217015484740 499904396 n

Etape 3 : Couture des bords (à la machine ou à la main) afin d'accoupler deux morceaux de cotons afin que ce soit plus épais et plus agréable à utiliser. A noter que je ne suis pas du tout une experte de la machine à coudre et que je ne cherche pas non plus à avoir de beaux morceaux de cotons mais juste que les deux faces soient cousues entre elles... Une aventure pour moi dont je suis fière !

18788516 10213217015364737 552268737 n

Etape 4 : Cotons terminés, plus qu'à les utiliser. Pour ma part, je pense qu'un coton lavable peut être utilisé plus de deux fois d'affilé avant de le laver en machine, car vous pouvez le rincer et le laisser sécher entre deux utilisations. Où bien, de faire un roulement entre deux cotons, le temps que l'un et l'autre sèche ! 

Comment savoir si vous êtes un enfant Indigo, Cristal ou Arc-en-ciel ?

Par Le 18/05/2017

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Il existe de nombreuses discussions qui entourent l’idée de ce qu’est un « enfant des étoiles ».

Êtes-vous l’un d’entre eux ?

Si vous lisez ceci ou que vous vous intéressez à l’évolution collective du monde, alors vous en êtes probablement un !

Ces titres ou catégories de « personnes des étoiles » ont une signification différente pour chaque personne.

Pour moi, cela signifie essentiellement que votre but dans la vie est d’aider à briser les paradigmes existants pour vraiment commencer la transition aux prochains stades de l’évolution.

Tout le monde a certains des traits qui viennent avec le fait d’être une personne des étoiles, c’est la façon dont vous agissez sur vos intentions qui vous fait résonner davantage avec une catégorie spécifique.

Enfants Indigo

Les enfants Indigo sont les créateurs du chemin pour le nouveau monde. Ils naissent généralement avec un « esprit de guerrier » avec un objectif commun pour essayer d’arrêter les anciens systèmes qui ne nous servent plus.

Ces enfants peuvent être considérés comme un peu mal élevés qui peuvent venir dans le monde avec une mentalité de « je mérite d’être ici ».

Ils sont là pour recréer les idées fondamentales du gouvernement, l’éducation et nos systèmes juridiques qui manquent d’intégrité.

Pour ce faire, ils ont généralement beaucoup de détermination et quelquefois un peu de caractère.

Les enfants Indigo savent quand on leur ment, quand on les traite avec condescendance, ou quand on les manipule.

Et comme leur but est de nous introduire dans un nouveau monde d’intégrité, les détecteurs de mensonges intérieurs des Indigos sont indispensables.

Beaucoup d’enfants Indigo finissent par être diagnostiqués avec le TDAH car ils sont très sensibles et existent littéralement à un niveau supérieur, à un rythme plus rapide.

Enfants Cristal

Les enfants Cristal sont l’opposé des Indigos. Après que les nouveaux modes de vie ont été établis, les enfants Cristal sont venus agir en harmonie avec le monde.

Ils sont plus heureux que les enfants Indigo et d’humeur égale. Ils donnent l’exemple aux gens pour voir comment nous pouvons agir en coopération avec d’autres.

Les enfants Cristal suivent le chemin dégagé, dans un monde plus sûr et plus sécurisé.

Beaucoup d’entre eux ont des dons spirituels innés qui peuvent facilement être mal compris.

Plus les enfants sont évolués, plus ils luttent sur cette dimension.

Beaucoup de gens atteints d’autisme grave sont des enfants Cristal.

Ils fonctionnent à une fréquence beaucoup plus élevée ne nécessitant pas de communication verbale donc nous supposons qu’ils sont juste autistes ou mal compris.

Les enfants Cristal ont un retard de langage, et il n’est pas rare qu’ils attendent d’avoir 3 ou 4 ans avant de commencer à parler.

Ce qui se passe vraiment est beaucoup plus profond. Ils sont incroyablement intuitifs et communiquent à un niveau qui peut seulement être atteint quand nous sommes en alignement avec nous-mêmes.

Enfants Arc-en-ciel

Enfin nous avons les enfants Arc-en-ciel. Ils sont l’exemple le plus élevé de notre véritable potentiel. Ils incarnent la vraie divinité.

Ils sont aux services des autres et ‘donner’ fait partie de leurs natures .De cette façon, ils sont à la hauteur de leur « pic spirituel »en raison de leur devoir d’aider.

Ils sont courageux et n’ont aucun mal à exprimer leurs émotions. En général ils peuvent rapidement se remettre des émotions négatives. Parmi toutes les catégories, les enfants Arc-en-ciel sont censés être assez rares.

Il n’y a pas autant d’informations sur eux, car ils sont encore en train de naître et ils montreront leurs capacités quand le monde en aura le plus besoin.

Le but de ces enfants Arc-en-ciel est de compléter les étapes finales des bases qui ont été créées par les enfants Indigo et Cristal.

En fin de compte, toute personne qui veut exister dans l’alignement de la terre est un «enfant des étoiles ».

Nous partageons tous des traits de chaque catégorie d’enfant, mais c’est notre façon d’agir sur nos intentions qui nous définit.

Essentiellement, les enfants Indigo sont là pour briser le paradigme de la pensée traditionnelle.

Les enfants Cristal construisent ensuite leurs bases sur le paradigme brisé.

Et ensuite les enfants Arc-en-ciel continuent à construire ce que les enfants Indigo et Cristal ont commencé; en transcendant éventuellement nos paradigmes pour créer une toute nouvelle façon d’exister !


Source : http://www.espritsciencemetaphysiques.com/