maux

Comment les organes du corps sont-ils liés aux émotions ?

Par Le 20/02/2017

16831906 925305584270654 1803284119526423360 n

Article posté par Vanessa dans mon groupe "Guidances et Soins énergétiques"


Il est bon de garder ses émotions sous contrôle pour jouir d’une bonne santé, car nos organes intérieurs peuvent aussi être affectés par nos états émotionnels.

Vous êtes-vous déjà demandé comment les émotions influent sur les organes de votre corps ?

Selon la médecine chinoise traditionnelle, notre corps répond à chaque stimulation, intérieure ou extérieure, qui génère une tempête de réactions.
Notre organisme n’est pas uniquement conçu pour métaboliser les fonctions basiques de transformation des aliments en énergie pour notre survie.
Il transforme aussi toutes les stimulations et génère une réponse positive ou négative, qui affecte tous les organes dont il est composé.
En plus des stimulations physiques qu’il reçoit à travers les sens, se trouvent les émotions ou les sentiments qui, même s’ils semblent ne rien affecter physiquement, entraînent des réactions qui stimulent ou inhibent certains organes de notre corps.
C’est un processus sain mais quand les émotions sont graves, négatives et prolongées, elles peuvent nuire aux organes et les rendre encore plus vulnérables face à des maladies.

Les organes et les émotions qui les affectent

Comment les organes du corps sont-ils liés aux émotions ?


Le processus de détérioration de n’importe quel organe a un lien direct avec les émotions et les sentiments que nous expérimentons.
Si vous tenez compte que lorsqu’un organe est affecté, il déséquilibre tout notre corps, il est important de connaître la cause émotionnelle qui l’affecte, pour travailler à la guérison.
Cela implique de changer l’état de nos émotions et de les transformer en pensée positives.
Dans cet article, nous allons vous expliquer quels sont les organes et les émotions qui peuvent les affecter.

Voici comment les organes du corps sont-ils liés aux émotions :


1. Cœur et intestin grêle : la joie

Selon la médecin traditionnelle chinoise, la joie est l’émotion qui est liée à deux organes.
En accord avec les processus du corps, le cœur régule le sang et contrôle les vaisseaux sanguins. L’intestin grêle, lui, est chargé d’absorber les nutriments et les minéraux des aliments.
Même si une émotion saine comme la joie stimule le fonctionnement de ces organes, les excès qui en proviennent peuvent entraîner les phénomènes suivants :

  • Nervosité
  • Tachycardie
  • Insomnie
  • Manque de concentration

Les personnes qui ont ces organes affectés sont souvent des personnes sensibles, extraverties et bavardes, qui ont des émotions débordantes et une émotivité accrue.
Prendre soin de son euphorie, de son agitation, de son excitation ou de son excès d’émotivité aidera au bon fonctionnement de ces organes, essentiels pour notre corps.


2. Le foie et la vésicule biliaire : la colère
 

La colère, comme toutes les émotions dérivées, est associée à ces organes.
Le foie est chargé de stocker le sang et de réguler la circulation de l’énergie vitale. La vésicule biliaire, quant à elle, accumule et secrète la bile.
Si vous avez des problèmes avec ces organes, peut-être que vous êtes une personne très dynamique, mais excessivement préoccupée et qui peut même réagir avec agressivité.
En plus de la colère, vous devrez faire attention aux sentiments de frustration et d’indignation.
Il faut savoir qu’un foie qui fonctionne normalement produit une énergie génératrice et libératrice.


3. La rate et l’estomac : l’obsession


Ces organes sont liés à l’obsession, à la nostalgie et à la réflexion.
Alors que l’estomac transforme les aliments, la rate, qui fait partie du système lymphatique, lutte contre les infections et maintient l’équilibre des liquides dans le corps.

Celleux qui souffrent de maladies en lien avec ces organes sont des personnes tranquilles et calmes mais qui ont des difficultés à prendre des décisions.
L’équilibre de l’énergie entre les deux organes favorise la compassion et l’empathie.


4. Le poumon et le gros intestin : la tristesse


Ces organes sont liés à la mélancolie, à la tristesse et à l’affliction.
Les poumons régulent la respiration et l’intestin s’occupe de la digestion, de l’absorption des nutriments et de l’immunité de l’organisme.
Si vous avez des problèmes avec ces organes, peut-être que vous êtes une personne indépendante et très rationnelle, mais vous avez tendance à vous renfermer dans votre propre monde intérieur.
Des symptômes physiques peuvent apparaître, tels que le manque d’appétit, l’oppression dans la poitrine ou le dégoût.


5. Les reins et la vessie : la peur


Les reins sont associés à la peur et à l’angoisse. Ces organes se chargent de l’évacuation des déchets dans le sang, alors que la vessie stocke l’urine et contrôle l’excrétion.
Certaines personnes, qui présentent une douleur lombaire, une fragilité et d’autres symptômes, peuvent passer par des situations d’incertitude.
Maintenir l’équilibre de l’énergie rénale permet de développer la confiance en ses capacités propres.
Maintenant que vous connaissez les émotions qui affectent les organes du corps, vous pouvez travailler pour les transformer en pensées positives et favoriser la guérison de votre organisme.

MALADIE / Le mal qui a dit le lien entre nos émotions et la maladies

Par Le 18/09/2016

14291866 828427947291752 6758904726165114997 n

Le point de vue yogique est de regarder le corps comme un instrument de développement spirituel. Comme chaque instrument notre corps a ses propres règles et son langage. C’est seulement par l’ignorance que nous ne pouvons (ou ne voulons) pas entendre et comprendre ses messages. Il est devenu normal aujourd’hui de réagir sur une maladie ou une douleur avec une action répressive. Et si on essayait par un système de « décodage corporel » trouver la cause d’une maladie qui se trouvent toujours dans le psychisme ?


Les étapes de formation d’une maladie

1. Psychique : le stade causal, quand le déséquilibre apparaît au niveau du subconscient. Ce déséquilibre est lié à une conception de l’ego en interaction avec le monde extérieur
2. Énergétique : le déséquilibre du système des canaux énergétiques (nadis).
3. Neuroendocrinien : le dysfonctionnement du système neuroendocrinien (le déséquilibre apparaît au niveau du corps physique ;
4. Endotoxique : le développement des toxines dans les différentes parties du corps ;
5. Visible symptomatique : l’apparition des symptômes cliniques de la maladie ;
6. Terminal : la destruction de l’organe malade.

Il n’est pas difficile de déduire auxquels des ces six stades la médecine occidentale intervient dans la plupart des cas. 

On voit ici que les symptômes qui apparaissent au niveau du corps sont les derniers cris du système pour se faire apercevoir. Et en réponse à ce crie le plus souvent on essaye de faire taire le corps au lieu de lui être gratifiant.


Dictionnaire des maladies 

Il existe aujourd’hui tout un ouvrage composé par Jacques Martel “Le grand dictionnaire des malaises et des maladies” qui permet de comprendre nos états intérieurs en faisant des observations extérieures. Ce livre est une sorte de guide pour comprendre ce qui se joue et de faire remonter en surface les choses que nous pourrions avoir tendance à refouler, ou à ne pas vouloir apercevoir. Toutes les émotions que nous refoulons à l’intérieur de nous-même parce que nous ne pouvons pas ou ne voulons pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties du corps ou se manifester à travers tel ou tel problème corporel.

La panique peut provoquer des diarrhées.

La colère retenue ou la rancune : une crise de foie.

La difficulté à trouver ou à prendre sa place peut provoquer des infections urinaires à répétition.

Quelque chose qu’on ne veut pas entendre ou quand on ne s’écoute pas : des otites, douleurs d’oreilles.

Quelque chose qu’on n’a pas osé dire, qu’on a ravalé : des angines, des maux de gorge.

Un refus de céder, de plier, d’obéir ou de se soumettre : des problèmes de genoux.

Peur de l’avenir, peur du changement, peur de manquer d’argent : des douleurs lombaires.

Intransigeance, rigidité : des douleurs cervicales et nuque raide.

Conflit avec l’autorité : des douleurs d’épaules.

Quand on prends trop de choses sur soi : également douleurs d’épaules avec une sensation d’un fardeau.

Affronter une situation ou une personne sans se permettre de s’exprimer : des douleurs dentaires, aphtes, abcès.

L’incapacité d’avancer : des douleurs dans les pieds, les chevilles.

La colonne vertébrale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos émotions refoulées ! 


Foie 
Le foie représente les choix, la colère, les changements et l’adaptation. On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux.
Difficultés d’ajustement à une situation.
Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.
Colère refoulée.
Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.

Vésicule biliaire 
La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage. Se battre. Esprit de conquête.

Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser.
Sentiment d’injustice. Colère, rancune.
Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.
Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.
Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.

Glande thyroïde 
Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.
Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.
Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse. Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.
Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer.
Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.

Hernies 
De la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée.
Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.
Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.

Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.
Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire : 

Hernie inguinale (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.

Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.

Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien. Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.

Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.
Refouler ses émotions. Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.

Genoux 
Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.
Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.
Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.
Devoir s’incliner pour avoir la paix.
Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure,
Entêtement, humiliation.
Culpabilité d’avoir raison.
Colère d’être trop influençable.

Peau
Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication. Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.

Eczéma
Anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer.
Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.
Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.
Chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi. Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.

Acné 
Manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas.
Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence.
Honte des transformations corporelles.
Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.

Psoriasis 
Personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.
Besoin de se sentir parfait pour être aimé.

Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.
Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.
Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

Bras
Il y a de nombreuses causes émotionnelles liées aux douleurs et aux problèmes de bras.
Les bras sont le prolongement du coeur et sont liés à l’action de faire et de recevoir, ainsi que l’autorité, le pouvoir.
Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.
Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un.
Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un.
Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à leur montrer de l’affection.
S’empêcher de faire des choses pour soi-même, parce qu’on se souviens des jugements négatifs et des interdictions durant l’enfance, ce qui était blessant.

Ne pas se permettre de prendre ou je regretter d’avoir pris quelque chose, ou de penser avoir obtenu quelque chose sans le ne mériter.
Se rapporter au fait d’avoir été jugé par ses parents.
Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple).
Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.

Epaules
La fonction première des épaules est de porter. Les épaules portent les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités.
Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas.
On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu.
Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agir, ou que l’on on nous impose des choses.
Lorsqu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on désire passer à autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque.
On manque d’appui, on manque de moyens. On ne se sent pas aidé.
Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer.

Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause.
Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir.
On vit de l’insécurité affective (douleur épaule gauche) ou de l’insécurité matérielle (douleur épaule droite).
Épaules rigides et bloquées sont signe d’un blocage de la circulation de l’énergie du coeur, qui va vers l’épaule, puis vers le bras, le bras donne (le bras droit) et reçoit (le bras gauche).
Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu (capsulite, bursite).

L’énergie doit circuler du coeur vers les bras pour permettre de faire, de réaliser ses désirs.
On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même.
On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre.
Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.

Essayez de modifier, clarifier ou de lâcher-prise par rapport à la situation qui vous perturbe. Le mot lui même maladie pointe sur ce mécanisme d’expression corporelle : « le mal a dit ». Votre douleur essaie de vous dire quelque chose, de vous signaler que quelque chose perturbe l’harmonie en vous, d’attirer votre attention sur quelque chose à changer dans votre vie. 
N’ayez pas peur, ne haïssez pas vos maladies! Reconnaissez et acceptez les émotions, si vous les éprouvez, mettez des mots dessus, acceptez votre ressenti. Une fois les émotions négatives reconnues, acceptées et évacuées, le corps peut cesser de vous envoyer ce message de « mal a dit. »

20 sources de douleur dans le corps

Par Le 21/04/2016

Capture 137

20 sources de douleur dans le corps qui sont chacune directement liées à des états émotionnels spécifiques

La douleur est une énergie, un ressenti, et une manifestation physique.

La moindre douleur dans notre corps est liée à un état émotionnel particulier, et vient nous alerter sur ce qui ne va pas dans nos vies.

Une fois que nous intégrons ces leçons, la douleur disparaît.

Le corps est particulièrement transparent quand il s’agit de la douleur.

Les expériences de votre vie se manifestent directement dans votre corps et lorsque vous rencontrez un stress émotionnel, votre corps vous montre exactement quel est le problème.

La seule chose que vous devez faire, c’est savoir décoder la douleur lorsqu’elle se manifeste :

1.    La douleur dans les muscles représente la flexibilité dont nous faisons preuve dans la vie quotidienne. Cela révèle si nous sommes assez souples dans nos relations au travail, à la maison ou envers nous-mêmes. Laissez-vous donc porter pour que la douleur s’estompe.

2.    La douleur au niveau de la tête : les maux de tête limitent la prise de décision. Les migraines surviennent lorsque nous connaissons la décision à prendre et que nous ne la prenons pas. Assurez-vous de prendre du temps chaque jour pour vous détendre. Faites quelque chose qui va soulager cette tension.

3.    La douleur dans le cou indique que vous avez des difficultés à pardonner les autres ou vous-même. Si vous sentez une douleur au cou, pensez aux choses que vous aimez chez vous ou chez les autres. Travaillez consciemment sur le pardon.

4.    La douleur dans les gencives : comme pour le cou, la douleur dans les gencives est liée aux décisions que vous ne prenez pas ou auxquelles vous ne vous tenez pas. Soyez clair dans vos objectifs, et foncez !

5.    La douleur aux épaules peut indiquer que vous trainez un fardeau émotionnel, d’où l’expression « avoir les épaules larges ». Focalisez-vous sur les problèmes que vous êtes seul à pouvoir résoudre et n’hésitez pas à déléguer à votre entourage dès que possible.

6.    La douleur à l’estomac survient lorsque vous n’avez pas digéré, au sens figuré, quelque chose de négatif. Le sentiment de ne pas être respecté provoque une sensation de trou dans l’estomac, et un certain chagrin.

7.    La douleur dans le haut du dos indique que vous manquez de soutien affectif. Vous pourriez vous sentir mal aimé. Si vous êtes célibataire, il serait peut-être temps de rencontrer quelqu’un.

8.    La douleur dans le bas du dos. La lombalgie peut signifier que vous vous souciez trop de l’argent ou que vous êtes en manque d’affection. Ce peut être l’occasion de demander une augmentation de salaire, ou envisager un conseiller financier pour vous apprendre à mieux gérer votre argent !

9.    La douleur au sacrum et au coccyx. Vous pourriez être assis sur un problème qui doit être résolu…

10.   La douleur dans les coudes a beaucoup à voir avec la résistance aux changements dans votre vie. Si vos bras sont raides, cela peut signifier que vous êtes trop raide dans votre rapport aux choses. Il est peut-être temps d’oser faire bouger les choses ou du moins, de vous laisser aller !

11.   La douleur dans les bras. Vous portez quelque chose ou quelqu’un comme un fardeau émotionnel. Il est peut-être temps de vous demander si cela en vaut vraiment la peine…

12.   La douleur dans les mains. Les mains symbolisent le lien aux autres, le fait de se connecter. Si vous ressentez une douleur à la main, cela peut signifier que vous ne tendez pas assez la main aux autres. Essayez de vous faire de nouveaux amis, rétablissez la connexion !

13.   La douleur dans les hanches. Des hanches douloureuses pourraient signifier que vous êtes trop résistant aux changements. Vous avez tendance à ériger les mises en garde en véritables obstacles à la prise de décision. Si vous réfléchissez sur quelques grandes idées, il est temps de trancher.

14.   La douleur dans les articulations en général. Tout comme pour les muscles, les douleurs dans les articulations représentent la flexibilité. Soyez ouvert à de nouvelles façons de penser, aux leçons et expériences de la vie.

15.   La douleur aux genoux. Le genou, qui peut s’entendre « je-nous », symbolise notre relation à l’autre, soumise, agressive ou équilibrée. Le mal de genou indique une difficulté à plier, à accepter les choses telles qu’elles sont. La tension peut être liée au monde extérieur comme à soi-même. L’intérieur du genou renvoie à la communauté, au travail, aux amis ; l’extérieur du genou est lié aux problèmes personnels. Souvenez-vous : vous n’êtes qu’un humain, un simple mortel. Ne laissez pas votre ego dominer votre vie. Faire du bénévolat peut s’avérer bénéfique.

16.   La douleur aux dents exprime le fait que vous n’aimez pas votre situation. À ressasser constamment ce dégoût, cela affecte vos émotions au quotidien. Rappelez-vous que les expériences passent plus vite lorsque vous focalisez sur leurs aspects positifs.

17.   La douleur dans les chevilles montre que vous ne vous accordez pas de droit au plaisir. Il est peut-être temps de devenir plus indulgent envers vous-même. Essayez de pimenter votre vie amoureuse.

18.   Une douleur qui fatigue. Éprouver de l’ennui, faire de la résistance, ne pas se donner les moyens d’aller de l’avant. Écoutez cette petite voix qui se demande « quelle est la prochaine étape ? » et vous pousse vers une nouvelle expérience.

19.   La douleur aux pieds. Lorsque vous êtes déprimé, vous pouvez ressentir une certaine douleur aux pieds. Trop de négativité peut se manifester sous vos pieds. Appréciez les petits plaisirs de la vie. Adoptez un animal de compagnie ou trouvez-vous un nouveau loisir, une nouvelle passion. Cherchez la joie.

20.   Une douleur inexpliquée dans différentes parties du corps. La structure cellulaire du corps est en renouvellement constant et durant ce processus, on se purge des énergies négatives. Le système immunitaire et tous les systèmes dans le corps s’en retrouvent affaiblis. Ainsi, alors que le corps fait mal et peut sembler dans un état de maladie, il est en réalité dans un état de compensation. Pas de panique, ça va passer !

 

Source : www.santeplusmag.com