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L’amour de soi

Par Le 05/04/2016

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"L'amour de soi, c'est s'aimer inconditionnellement, s'accepter tel qu'on est dans le moment. Il implique d'accepter toutes les parties en soi, surtout celles qui ne font pas notre affaire ou celles qui nous font parfois souffrir, en reconnaissant que c'est nous-même qui les avons créées, croyant qu'elles nous seraient utiles.

S'aimer, c'est reconnaître qu'on évolue en tant qu'humain, c'est-à-dire que tout est temporaire. C'est accepter que nos limites, nos peurs, nos faiblesses, nos culpabilités, nos croyances, nos désirs de vivre certaines expériences, nos goûts, nos talents évoluent sans cesse et qu'ils peuvent être différents de ceux des autres. Ça demande de les accepter, surtout sans se juger ni se critiquer lorsqu'on n'est pas d'accord avec le fait d'être ainsi.

S'aimer, c'est reconnaître l'être spécial qu'on est, même si on n'a pas encore atteint notre idéal. S'aimer, c'est savoir au fond de son cœur qu'on agit toujours au meilleur de notre connaissance, selon nos capacités et nos limites du moment. On est sur terre pour vivre des expériences dans le but de reconnaître qui on est. Il va sans dire qu'on atteindra notre but terrestre quand on sera capable d'accepter chacune des différentes façons qu'on a d'aimer et de s'exprimer. Pour accepter ainsi, on doit apprendre à constater ce qui se passe, à tout observer, y compris nos comportements, et se donner le droit d'être tel qu'on est. L'amour dit toujours oui sans résistance, sans condition.

Une personne qui ne s'aime pas se critique, se contrôle et ne croit pas en elle. Elle en oublie son essence, qui elle est véritablement, c'est-à-dire un être spirituel qui habite temporairement dans un corps de matière, un être merveilleux qui agit au meilleur de sa connaissance, de sa conscience et de ses limites. Elle s'identifie plutôt aux personnalités qu'elle a créées mentalement, qui ne sont en fait que des illusions.

Toutes les situations et les événements qu surviennent dans notre vie existent pour nous permettre de nous aimer toujours un peu plus chaque jour. Il y a plusieurs moyens d'apprendre à s'aimer, le premier étant de devenir conscient de qui on est véritablement : nos qualités de cœur, notre générosité, nos multiples talents, notre capacité d'aider, d'accepter, d'écouter, de comprendre, et surtout notre grand pouvoir de créer et de rechercher sans cesse l'amélioration de notre être. L'amour véritable est d'essence spirituelle. Il représente l'énergie de fusion entre tout ce qui vit. On le considère comme le remède le plus rapide et efficace pour toute guérison physique, émotionnelle et mentale... "

Lise Bourbeau et Micheline St-Jacques

La peur de l'abandon attire et entretient les relations de souffrance

Par Le 05/04/2016

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« La peur de l’abandon est l’une des causes les plus rependues du mal-être et du mal de vivre. » dit Daniel Dufour, médecin et animateur de stages de développement personnel.

À l’origine de cette souffrance, qu’il appelle « l’abandonnite », « il y a toujours une situation mal vécue au cours de la vie fœtale, de la prime enfance ou de l’enfance, qui n’est pas forcément un abandon effectif. » Ici, c’est un père absent ; là, une mère débordée, un couple de parents fusionnels, ou encore l’arrivée d’un petit dernier, un séjour en pension, le décès d’un grand-père auquel nous étions particulièrement attachés.

Cette plaie peut avoir de considérables contrecoups sur nos relations si on ne la soigne pas. Malheureusement, il y a beaucoup de personnes qui attirent les mauvaises personnes par peur d’être abandonnés.


D’où vient-elle ?

L’abandon est une perception de l’enfant

Comme généralement, de l’enfance, de cet instant ou notre mère s’est mise à s’occuper un peu moins de nous soit parce qu’elle était fatiguée, ou avait moins de temps. La peur de l’abandon a alors commencé à germer inconsciemment car nous savions que nous ne pouvions survivre sans cet adulte, et cette peur est désormais prête à se réactiver chaque fois que notre amoureux manifeste un peu de distance…

Ceux qui ont vécu la peur de l’abandon plus fortement que les autres dans l’enfance deviennent souvent des « êtres abandonniques », c’est-à-dire qu’ils ont souvent peur d’être abandonnés.

La peur de l’abandon ne naît pas d’un réel abandon mais de la perception à un certain moment que l’enfant – dès sa naissance – peut avoir d’une situation.

Ainsi l’impression d’abandon peut naître d’un moment où :

  • la mère ne répond pas aux pleurs du bébé car elle dort,
  • l’enfant ne supporte pas « la crèche »,
  • on envoie trop souvent l’enfant chez les grands-parents,
  • la mère doit partir quelques jours pour une opération,
  • les parents partent 24h en weekend…
  • le parent est présent mais il semble si préoccupé par ses pensées qu’il ne fait pas vraiment attention à l’enfant,
  • le père rentre à 21h lorsque l’enfant dort déjà, il ne le voit que le weekend,
  • etc etc…

Freud a dit que la peur de l’abandon devient un traumatisme surtout si les situations qui provoquent l’abandon sont répétées régulièrement.


Les conséquences de cette peur et comment se manifeste-t-elle ?

Pour soi-même, elle s’accompagne souvent :

  • d’angoisse, d’anxiété,
  • de souffrance,
  • d’un relationnel souvent compliqué, car la peur de perdre l’autre produit des conduites inadaptées et difficiles à vivre pour l’autre,
  • de tristesse,
  • d’état dépressif,
  • et parfois d’autres troubles : troubles alimentaires comme la boulimie pour compenser un manque affectif ou une angoisse latente, etc.

Pour ceux qui font face à cette phobie, elle est souvent synonyme :

  • d’un excès de jalousie : la peur de l’abandon est si puissante que la personne qui en est atteinte met tout en œuvre pour être sûr que l’autre ne va pas l’abandonner.
  • de relations conflictuelles,
  • etc etc…

L’enfant grandit avec l’idée qu’on peut m’abandonner et pour pallier à ce risque, il pense devra s’adapter en faisant tout pour ne plus vivre ces situations.

L’enfant va par exemple :

  • essayer de faire plaisir à tout le monde en mettant ses propres besoins de côté,
  • accepter toutes les formes d’irrespects tant qu’il n’est pas abandonné (même la violence),
  • devenir dépendant (drogue, dépendance affective, jeu, dépenses, sexe…),
  • croire qu’il n’a aucune valeur et que les autres sont bien supérieurs à lui étant donné qu’il ne mérite pas l’attention dont il a besoin,
  • créer lui-même des situations de rupture pour éviter qu’on l’abandonne,
  • refuser toute forme d’engagement durable (pas de CDI, pas de mariage, pas de crédit sur 20 ans, pas d’enfant,…).

Quelles sont les solutions face à la peur de l’abandon et comment sortir de ce schéma.

La peur de l’abandon est une émotion perturbante est source de nombreuses souffrances et de situations dramatiques  pour soi-même comme pour les autres. Généralement, cette peur de l’abandon induit des schémas répétitifs. L’individu va attirer toujours et encore des situations ou des relations similaires. Ce n’est que lorsqu’il va en prendre conscience et qu’il décide de se faire aider qu’il pourra sortir de ce schéma.

Si vous cherchez perpétuellement à faire plaisir à votre conjoint, vos proches et toutes formes de relations en râlant car personne ne vous rend la reconnaissance de vos actes, vous avez de forte chance d’avoir ce problème !

Si vous n’êtes pas stable dans vos relations amoureuses, sociales ou professionnelles, il est peut être temps de travailler sur vous-même.

Les addictions servent souvent à masquer et combler le vide que l’on ressent quand on se croit « abandonné ». On va par exemple abuser sur la  nourriture, la drogue ou l’alcool.

Il arrive que l’angoisse vienne de situations très banales comme celle où votre ami ne répond pas dans la minute au SMS que vous lui envoyez car il n’a plus de batterie: vous allez angoisser jusqu’à lui faire une scène lorsqu’il rentre le soir. En réalité, vous ne faites qu’exprimer votre peur d’être à nouveau abandonné !

Dans les cas les plus graves, on verra dans les faits divers un homme dont la femme demande le divorce, tuer ses enfants et se suicider ensuite, ne supportant pas la séparation. La rupture réveille l’impression d’abandon vécu dans la petite enfance.

Les gens souffrant de ce problème préféreront rester toute leur vie ou des années durant dans des relations de violences psychologiques ou physiques en étant souvent dans le déni de leur peur de l’abandon.

On pourra également s’intéresser à divers outils de développement personnel afin de sortir de ce schéma:

  • d’améliorer son image de soi,
  • de développer sa confiance en soi,
  • d’apprendre à gérer nos émotions,
  • etc  etc…

Comment peut-on faire pour guérir :

Il est très important de se dire ça : nous sommes devenues des adultes, nous ne sommes plus des enfants fragiles et impuissantes, notre vie n’est plus en jeu si l’on nous abandonne. Aujourd’hui, 1 / nous survivrons, 2 / nous pouvons agir !

Devenons également plus rationnelles !  Si notre chéri manifeste moins d’amour, c’est peut-être tout simplement qu’il est dans une phase de fatigue… Il a LE DROIT de ne pas être toujours au top !

Et bien sûr, il faut essayer de remonter aux situations d’enfance, celles qui ont fait naître cette peur (même les situations les plus anodines)… Les identifier, ça aide à se dire quand le schéma se (re) présente : « Je me rappelle de cette blessure mais je ne suis plus faible, je ne transpose pas cette vieille peur car je suis maintenant adulte et je peux m’assumer moi-même, je ne dépends pas de l’autre, ma vie ne dépend pas de l’amour de l’autre mais de moi et de l’amour que je me donne à moi-même. » Normalement, déjà, ça va un peu mieux…

Voici les étapes à suivre :

  • prendre conscience d’un schéma répétitif,
  • analyser et comprendre l’origine du problème,
  • reconnaître nos réactions inadaptées,
  • mettre en place des actions et réactions adaptées où l’on devient autonome et où la souffrance ne nous atteint.
  • L’individu qui souffre de la peur d’abandon se sous-estime et pense qu’elle n’est pas assez bien, que l’autre va forcément l’abandonner. L’entourage pourra participer dans une évolution vers la guérison en affirmant régulièrement ses émotions et sentiments.

Ensuite si cela na suffit pas vous pouvez consulter un spécialiste : un  psychologue, un psychothérapeute, une psychanalyse, ils pourront permettre un travail sur vous afin de découvrir l’origine et de comprendre pourquoi vous avez peur d’être abandonné.

Soigner sa blessure d’abandon, c’est retrouver la paix en soi, dans ses relations et dans ses projets de vie.

 

Source : sereconnecter.eu

Il faut avancer par petites étapes

Par Le 05/04/2016

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Voici un texte transmis par Monique Matthieu "du ciel à la terre" puisse t il nous apporter aide et soutien dans notre cheminement

 

"Il faut avancer par petites étapes."

Essayez de vous demander si vous êtes suffisamment généreux avec vous-mêmes, avec ceux qui vous entourent, essayez de vous demander si vous savez être dans l’altruisme, si vous avez suffisamment de bonté. Nous ne parlons pasde bonté matérielle mais de bonté au niveau de votre parole, de votre disponibilité, de l’aide que vous pouvez apporter aux autres.

Essayez de vous pencher sur vous-mêmes par rapport aux Lois Universelles ; vous les connaissez biens sûr car elles sont enfouies au fond de vous. Une partie de ces Lois Universelles ressurgissent, se manifestent, sont intégrées, restituées ; petit à petit elles feront toutes surface les unes après les autres, car la vraie Loi Universelle c’est bien entendu l’Amour.

Il y a d’autres Lois Universelles qui ne sont pas des lois terrestres, ce sont des lois qui s’appliquent aux planètes, qui s’appliquent aux plans de Lumière, aux Dieux Créateurs, mais pour l’instant ce n’est pas votre problème.

Pourquoi, continuons-nous d’être auprès de vous au bout de tant d’années ? Pourquoi continuons-nous d’essayer de vous faire avancer ? Parce cela a une grande importance, parce que le moment est maintenant venu de mieux comprendre ce qu’est réellement la sagesse. La sagesse fait partie des Lois Universelles, comme en font partie la volonté et le courage.

La volonté et le courage n’ont pas la même « valeur » pour la Terre et pour les plans de Lumière, mais ces mots peuvent être adaptés aussi bien au plan de la Terre qu’aux plans de Lumière.

Nous continuerons à être auprès de vous, parce qu’il suffit parfois d’un mot, d’une phrase, d’un échange, pour vous faire monter deux ou trois marches à grande vitesse, pour vous permettre de vous interroger, de prendre conscience de vous-mêmes.

Ce que nous faisons, nous le faisons bien sûr avec Amour, et nous vous accompagnerons jusqu’au bout de votre route terrestre, que ce soit individuellement ou en groupe, car nous savons que le travail que nous faisons a une grande utilité, qu’elle soit au niveau de votre évolution ou au niveau de ce que vous aurez compris et que vous pourrez restituer autour de vous.

Beaucoup de choses vont se précipiter ! Vous intégrerez de plus en plus d’autres parties de vous-mêmes. Votre vraie réalité va de plus en plus émerger de vous-mêmes ; cependant, votre petite humanité sera toujours là jusqu’à ce que vous ayez passé la grande porte, que ce soit en quatrième ou en cinquième dimension ou par le moyen d’un départ.

Peu importe de quitter ce monde en laissant votre corps sur lui ou de partir avec votre corps transmuté, transformé, car de toutes façons, lorsque vous irez dans une dimension supérieure, votre corps ne sera pas adapté à elle. Il sera automatiquement transmuté par la Lumière, par l’Amour et par des énergies que vous ne connaissez pas encore totalement et qui vont réellement changer votre état d’être, votre aspect, votre réalité humaine. Nous ne parlons pas de réalité divine mais de votre réalité fusionnée, c'est-à-dire la fusion des expériences vécues depuis votre venue sur ce monde, de votre personnalité humaine avec votre âme et votre divin. Tout ce que vous aurez appris fusionnera avec votre âme, sera inscrit dans votre âme, mais votre âme aura le choix de se délester de ce qu’elle ne trouve pas très utile pour la suite du voyage.

Si vous aviez la capacité, en tant qu’humains, de prendre conscience de ce que vous avez été, de ce que vous êtes en réalité, vous comprendriez que vous aussi êtes la somme de toutes les expériences vécues depuis des éons. Vous n’êtes pas vos propres personnalités, vous n’êtes pas ce que vous voyez de vous-mêmes, et c’est pour cette raison que nous vous disons que vous êtes mille fois mieux que ce que vous pouvez voir de vous-mêmes.

Vous devez aller à la reconnexion, à la recherche de tout cet acquis antérieur, mais cette reconnexion ne pourra se faire que lorsque vous aurez la capacité de dissoudre vos propres voiles ; nous vous avons déjà dit de quelle manière les dissoudre.

Bien sûr, dans votre société actuelle, c’est difficile d’être altruiste, d’être généreux, d’avoir en permanence de la bonté, car actuellement cela ne fait pas partie du fonctionnement des humains. Les humains ont trop tendance à applique le « chacun pour soi », mais d’une certaine manière ils n’en sont pas coupables car ils sont ignorants de ce qu’ils sont.

Plus vous approcherez de la reconnexion avec ce que vous êtes en réalité, plus votre montée sera facile et plus vous serez dans l’humilité. Ceux qui ont conscience de leur Amour et de ce qu’ils sont réellement ont beaucoup de compassion pour ceux qui sont encore dans le sommeil, et cette compassion fait d’eux des êtres humbles.

Si vous vous dîtes : « çà y est, je suis arrivé, j’ai tout compris, j’ai tout intégré », vous ne pourrez pas être réellement dans la compassion, vous ne pourrez pas être dans le don de vous-mêmes, vous ne pourrez pas être dans le respect de l’autre, vous ne pourrez pas être dans l’Amour Inconditionnel ! Vous aurez peut-être l’impression de l’être"…

Croire en soi pour réussir sa vie

Par Le 05/04/2016

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Qui mieux que vous peut savoir ce que vous ressentez ?

Qui mieux que vous peut savoir ce que vous aimez ?

Pourtant, vous trouverez toujours des personnes qui viendront vous dire ce que vous devez faire de votre vie ou bien encore qui prétendent savoir mieux que vous ce qui est bon pour vous.

N’en voulez pas à ces personnes et sachez qu’il vous appartient de savoir vous affirmer et de croire en vous…

Mais «  Comment faire pour croire en soi et s’affirmer ? »

En effet, si vous avez pris l’habitude de faire ce qu’on vous demande sans jamais vous opposer, même lorsque cela vous pèse, il peut-être difficile de renverser la vapeur.

Néanmoins, ce n’est pas impossible…

Croire en soi ou se libérer de l’approbation des autres…


La première chose à faire pour croire en soi, c’est de trouver ce qui vous pousse à chercher l’approbation des autres.

En effet, bien souvent, derrière l’envie de satisfaire tout le monde se cachent le besoin d’être aimé ainsi que la peur de décevoir, et d’être rejeté.

Pour réussir à se détacher de ces influences, vous devez prendre confiance en vous.

C’est-à-dire apprendre à accorder autant (voir plus) d’importance à vos ressentis qu’à ceux des autres.

Il vous faut trouvez la justification et le sens de vos actes au fond de vous.

Cela ne veut pas dire qu’il faut se fermer aux autres, mais qu’il faut savoir faire la distinction entre ce que vous ressentez et ce que ressent votre entourage.

Pourquoi ?

Simplement car bien souvent, notre entourage a tendance à projeter sur nous ses propres peurs et ainsi, à nous limiter.

Or pour avancer, il faut parfois faire des choix différents que ceux qui ont été fais avant nous.

C’est donc là votre première étape, savoir pourquoi vous cherchez à être approuvés par les autres et reconnaître la valeur de vos ressentis. Mais ce n’est pas tout…

En effet, à quoi bon savoir cela si vous n’en faites rien.


Voici donc la deuxième étape :

Croire en soi ou savoir s’affirmer

Au fur et à mesure que vous prendrez confiance en vous, vous allez pouvoir à votre rythme apprendre à vous affirmer.

Soyez conscients que cette étape demande du temps, aussi, il est important que vous fassiez preuve de patience et d’indulgence vis-à-vis de votre personne.

Croire en soi, ça s’apprend, mais il faut être réaliste, si vous avez appris pendant de longues années à taire ce que vous ressentez et à prendre sur vous, il faudra peut-être aussi quelques années pour arrivé à l’effet inverse.

Cependant, l’essentiel ce n’est pas le temps que vous mettrez pour atteindre cet objectif. Non, l’essentiel c’est d’arriver à vous réaliser, et ce, qu’importe le temps que vous prendrez.

Maintenant que vous connaissez les étapes à franchir, il ne vous reste plus qu’à partir au devant de vous-mêmes.

Croire en soi procure une force et une confiance inestimables.

Tiré du blog : http://magicsebwin.wordpress.com/2009/03/06/croire-en-soi-pour-reussir-sa-vie/

Comment transmuter le négatif en positif ?

Par Le 05/04/2016

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Voici quelques exemples de conseils et pratiques à effectuer chaque jour :

– Chaque matin, s’enraciner, harmoniser ses chakras et se centrer.

– Être conscient de la répercussion de ses pensées, de ses paroles, de ses actes.

– S’employer à voir le côté positif des choses plutôt que le côté négatif

– Se relier aux autres de cœur à cœur par un lien lumineux et donner l’amour qui est en soi.

– Nourrir la foi en la Vie qui nous abreuve de ses bienfaits chaque jour

– Être conscient de la puissance et du pouvoir de l’ego en soi. Le purifier par le cœur.

– Se défaire, par la lumière du cœur, de la peur, du jugement, de la colère, de la jalousie, du non-amour, ainsi que de tous les sentiments, comportements et schémas de dualité.

– Pratiquer la méditation.

– Pratiquer la visualisation de lumière.

– Bénir la vie et la remercier.

– Bénir notre nourriture et remercier tous les êtres qui ont participé à ce qu’elle soit dans notre assiette.

– Mieux manger pour permettre au corps physique de s’aligner sur les énergies présentes.

– Avoir une vie saine.

– Élever son taux vibratoire par l’amour, par les pensées lumineuses, par la musique…

– Lire des livres inspirants.

– Ne plus regarder des scènes de violence. Ne plus être dans la violence, ni dans la réactivité.

– Accueillir chaque être et chaque expérience avec compréhension.

– Ne rien rejeter sur l’autre.

– Se rapprocher de son âme par la pensée. La nourrir de lumière et d’amour.

– S’entourer de positif.

– S’aimer, s’apprécier, se valoriser.

– Vivre sa vie avec joie.

– Intégrer que rien n’est important et que tout est à sa place et a sa raison d’être.

– Ne rien contrôler.

– Pardonner aux autres et, le plus important, se pardonner.

– Transmuter la négativité par le cœur.

– Avoir de la compassion et transmuter les souffrances de l’humanité par le cœur.

– Être libre de ses choix.

– Donner pour recevoir.

– Intégrer que nous sommes 100% responsables de notre vie et de ce que nous attirons.

– Être proche de la nature.

– Ne plus se sentir séparé et entrer dans la conscience de l’Unité.

– Croire en tous les possibles et ne plus se mettre de limites.

– Aimer, aimer, aimer tout ce qui est.

– S'émerveiller, s'amuser, rire

– …

Tiré de la page facebook : Zen en Soi

5 exercices pour accepter son corps

Par Le 05/04/2016

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1. Prenez un moment pour penser aux valeurs les plus fondamentales dans votre vie.

L'amour, le couple, la famille, l'amitié, l'écologie, la santé, etc.

Quelle place occupe l'apparence physique dans vos valeurs ?

Il est rare qu'elle occupe une des premières places, et pourtant vous lui donnez une place prioritaire dans votre vie.

Ne pas vivre en accord avec ses valeurs fondamentales crée de la souffrance.

Remettez donc l'apparence physique à sa juste place et privilégiez la mise en oeuvre de comportements en accord avec vos vraies valeurs.

Votre vie sera ainsi plus épanouissante.

Les valeurs :

  • Qu'est ce qui est important pour moi dans la vie ?
  • Quelle femme je veux être, au travail, à la maison ?
  • Quelle place à l'apparence physique dans mes valeurs personnelles ?

2. Réfléchissez à l'histoire de votre image corporelle.

  • Quand et comment l'insatisfaction corporelle est-elle apparue ?
  • Comment s'est-elle construite ?
  • Votre corps a-t-il été victime de regards ou comportements malveillants ?
  • Est-ce votre regard sur lui qui est source de souffrance ?
  • Quels sont les facteurs qui maintiennent encore aujourd'hui l'insatisfaction corporelle ?
  • La place des médias, de personnes autour de vous, qui accordent beaucoup d'importance à l'apparence, vos pensées et comportements ?

Si je souffre depuis longtemps je peux essayer de comprendre depuis quand et d'où cela vient.
Quels sont les événements de vie qui ont influencé cela.
Comprendre aide souvent mais n'est pas suffisant, il est important de passer à l'action.


3. Vous n'êtes pas parfaite mais personne ne l'est.

Tout le monde a quelque chose voire plusieurs qu'il souhaiterait changer.

Les études montrent que 80% des femmes avec un poids sain, sont insatisfaites de leur poids donc nous pouvons considérer que l'insatisfaction corporelle fait partie de nos vies.

En outre, si vous avez beaucoup de croyances erronées concernant l'apparence, vous avez de plus grandes chances de souffrir d'insatisfaction corporelle.

Partez à la découverte de vos idées fausses en faisant les exercices du petit cahier (voir petit cahier ex pages 32-33 peut être choisir).

Vous pouvez trouver ce petit cahier par ici ⇒ Petit cahier d'exercices pour accepter son corps


4. Apprenez à vous parler autrement, développez un nouveau langage intérieur.

Un langage plus objectif, plus gentil aussi envers vous et votre corps.

Nous avons tendance à être très dures avec nous-mêmes, à être fort exigeantes et à percevoir notre corps en tout ou rien : si vous n'êtes pas parfaitement coiffée ou habillée, vous vous dites que vous êtes horrible et que personne ne voudra vous parler à cette soirée.

Améliorez votre relation avec votre corps en développant un discours plus nuancé.

Développez un nouveau langage intérieur en vous parlant comme vous parleriez à votre meilleure amie.


5. Mettez en place des nouveaux comportements: prenez soin de vous, faites des actions bénéfiques pour vous et votre corps.

Donnez également plus de liberté à vous-même et votre corps en évitant moins certains vêtements, certains lieux, certaines positions...

Car éviter, cacher ou camoufler à l'excès empêche l'installation d'une meilleure satisfaction corporelle.

Exposez-vous doucement à votre inconfort afin qu'il diminue et félicitez-vous de l'avoir fait !

Des actions qui vont être, bonnes, qui vont me remplir d'énergie et cela pourra rayonner sur les autres.

Par ex, je décide de porter une jupe et je m'expose doucement à mon inconfort.

En faisant cela je remarque progressivement mon inconfort diminué.

Je porte des couleurs que j'ai envie mais jamais osé et j'observe le bienfait sur moi et les 32-33 autres.

Après je m'encourage et me félicite de l'avoir fait !

Sourcehttp://www.huffingtonpost.fr/maggie-oda/5-exercices-pour-accepter-son-corps_b_5436038.html

9 façons de prendre soin de vous

Par Le 05/04/2016

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Plus nous avançons dans la vie et plus nous avons tendance à mettre l’accent sur les autres, le bien-être de nos proches et de notre famille.

Nous voulons les voir grandir et se développer de manière positive.

  • Mais peut-on aider les autres sans commencer par s’aider soi-même ?
  • Combien d’entre nous savent se concentrer avec la même intention sur eux-mêmes, afin de protéger leur propre santé émotionnelle, mentale et physique ?
    (On ne parle pas ici de narcissisme, d’égotisme, mais d’apprendre à bien se traiter soi-même).
  • Comment pouvons-nous nous assurer que nous nous cultivons nous-mêmes de façon adéquate ?

Il y a de nombreuses façons d’améliorer notre santé mentale et physique, et pas seulement en mangeant de façon intelligente, mais aussi en faisant de petits, mais importants changements dans notre vie quotidienne.

Voici 9 conseils très simples à pratiquer sans restriction.

« Soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’univers, pas moins que les arbres et les étoiles.

Dans le désarroi bruyant de la vie, sachez maintenir la paix dans votre âme. »
Max Ehrmann


1. Levez-vous tôt

Se réveiller au dernier moment pour tout faire ensuite dans la précipitation est facteur de stress.
C’est l’une des pires façons de commencer votre journée.

Réveillez-vous suffisamment tôt pour avoir du temps à penser à la journée qui se présente, élaborer un plan, lire ou écrire, faire du yoga, de la méditation avant de partir au travail.

Ce moment d’intimité avec soi-même est crucial pour votre santé physique et psychique.

De plus, si vous avez la chance de faire ça au soleil ou dans un endroit avec une forte lumière, ce n’en est que mieux.
De nombreuses études montrent que l’exposition à la lumière du matin a une influence sur l’indice de masse corporelle (IMC) des patients (cela joue à hauteur de 20 %). La lumière permet d’ajuster l’horloge interne qui régule votre rythme circadien et donc votre balance énergétique.

Elle joue aussi dans la dépression saisonnière. 


2. Buvez de l’eau

Buvez un grand verre d’eau au réveil pour démarrer votre organisme, car la nuit est en quelque sorte une « traversée du désert », durant laquelle on peut rapidement se déshydrater sans avoir l’occasion de boire, surtout en été.

Cette eau peut éviter une sécrétion trop élevée de l’hormone antidiurétique secrétée durant votre sommeil. L’hormone antidiurétique (ADH) ou vasopressine est une hormone favorisant la réabsorption de l’eau par l’organisme.
Elle permet de réguler les fonctions urinaires et la pression sanguine. Elle joue un rôle important dans la gestion de l’anxiété. On ne doit pas trop en sécréter. 

Pensez à vos réserves d’eau pour la journée de façon à être en mesure de boire régulièrement, surtout si vous travaillez assit.
De nombreuses études ont montré que les Français ne buvaient pas assez d’eau, alors que les besoins hydriques d’un adulte sont de 2,5 litres par jour (attention toutefois, le corps ne peut pas absorber plus d’un litre par heure, inutile de forcer les doses).

Ça ne date pas d’hier, Hippocrate, 4 siècles avant J.C. disait déjà que "l’alimentation était notre première médecine"


3. Devenez plus conscients de ce que vous faites.

Le matin, éloignez votre téléphone de sorte à pouvoir vous concentrer sur ce que vous faites, ce que vous goûtez, regardez, dans l’instant.

Être conscient de l’instant présent vous aide à apprécier ce que vous faites et permet aussi de mieux vous rappeler ce que vous avez fait.

Si vous ne pouvez pas rappeler ce que vous avez mangé hier à la même heure, vous savez que vous étiez distrait et avez agi sans être pleinement conscient de votre action.
Vous pouvez même en profiter pour méditer.

Les approches de « pleine conscience » ont fait l’objet de nombreuses études scientifiques depuis plus de 30 ans et ont notamment montré leur efficacité sur la réduction du stress (diminution de la production de cortisol, l’hormone du stress), de l’anxiété et la régulation émotionnelle. 


4. Ralentissez

Simplifiez vos tâches, prenez une profonde respiration et cochez ce que vous pouvez dans votre liste de « To do »

Liste To Do = À faire. Il s’agit de cocher (ou décocher) certaines choses qu’on avait prévu de faire pour soulager son emploi du temps

La vie est un flux continu et ce que vous n’avez pas pu faire vous le ferez à un autre moment.

Vous pouvez aussi expérimenter la sensation ne rien faire du tout pendant 10 ou 15 minutes quand vous vous réveillez. Car le corps aussi parle sans cesse et ce peut être un moment dans lequel vous allez pouvoir l’entendre parce que vous l’écoutez.
La mémoire inscrite dans votre corps est extrêmement parlante. 


5. Apprenez à être positif

Essayez de trouver le positif dans ce que vous pouvez, que ce soit votre nourriture, votre maison, votre journée, vos enfants, le trajet pour aller travailler.

Il y a toujours quelque chose de bon dans ce que vous avez et ce que vous faites. Essayez de voir cela et de vous concentrer dessus.

Par exemple:

Si vous croisez quelqu’un en chaise roulante, vous pouvez bénir la vie d’avoir vos deux jambes et de pouvoir marcher… (Surtout si vous étiez en train de râler parce que la queue n’avançait pas assez vite).

Apprenez à regarder ce que vous avez réalisé comme une expérience qui vous fait grandir, quel que soit le résultat « en positif » ou « en négatif ». Il n’y a rien de mauvais, il n’y a que des expériences dont on tire des leçons de vie. 

C’est une bonne façon d’apprendre à être plus reconnaissant envers la vie, mais également vous faire sentir mieux envers vous-même.

Si quelque chose de difficile vous arrive, essayez de le regarder différemment, de prendre du recul, de le voir sous un autre angle.
C’est souvent la perception que vous avez de la situation qui est bouleversante plutôt que la situation elle-même.

Parfois, certains évènements que l’on croit « contre nous » sont « avec nous » : vous avez raté ce train à cause d’un embouteillage et êtes dépité(e). Ce que vous ne savez pas, c’est qu’il va avoir une avarie et restera 4 heures bloqué sur la voie. Apprenons aussi à nous réjouir d’un contretemps…

Le professeur de psychologie Robert Emmons, de l’Université de Californie, a montré que les personnes qui ont décrit chaque semaine cinq choses qu’elles trouvaient positives ont eu moins de problèmes de santé et ont renforcé leur attitude positive (ce qui d’ailleurs peut influer sur ce qu’on appelle la chance). 


6. Expérimenter vos sentiments

Il est normal de se sentir triste, déprimé, anxieux, solitaire ou même heureux. Asseyez-vous, observez vos phénomènes ou états affectifs, écrivez à leur sujet.

Partagez vos sentiments si vous pouvez le faire avec quelqu’un de confiance. Dans l’intérêt de la raison, il vaut mieux essayer de comprendre que de juger ce que vous ressentez.


7. Faites quelque chose pour vous-même

Que ce soit une promenade, l’écriture, partir en vacances…

Faites quelque chose que vous pouvez apprécier.

Vous n’êtes pas obligés de partir à l’étranger pour avoir des vacances, vous pouvez aller voir les points d’intérêt dans votre propre ville ou dans les environs, que vous n’avez jamais vus et qui sont riches et beaux. La beauté est une nourriture pour l’âme au même titre que le pain l’est pour le corps. 


8. Connectez-vous avec votre Enfant intérieur

Qu’est-ce que vous aimeriez faire comme un enfant ? Faire du vélo ? Partir en pique-nique ? Faire du roller ?

Essayez de vous souvenir l’enfant que vous avez été, reprenez contact avec lui et allez de l’avant en faisant ce que votre cœur vous dit !
Il a été démontré que cela est très tonique pour le cerveau. Le psychologue américain John Bradshaw a bien explicité comment, découvrir à quel stade du développement nous avons abandonné notre « Enfant intérieur », et le reconnecter pouvait influer sur notre comportement.


9. Pratiquez la reconnaissance

Essayez de le faire régulièrement. Quand vous vous concentrez sur ce que vous avez obtenu et découvert (même les choses que nous tenons pour acquises tels que la vue, pouvoir marcher, ou de l’argent pour acheter des livres, etc.) vous vous sentez plus en mesure de relever les défis auxquels vous êtes confrontés.

Et surtout, vous vous rendez compte que vous avez ce que beaucoup dans le monde entier n’ont pas.

Le Pr. Paul Mills de l’université de Californie, à San Diego, a aussi montré comment le sentiment de reconnaissance et de gratitude influait sur le bien-être spirituel, le sommeil, l’humeur, la fatigue, mais aussi des marqueurs biologiques de l’inflammation.
De fait, « les personnes qui éprouvent de la gratitude repèrent davantage les événements positifs de la vie et les retiennent plus que les personnes moins reconnaissantes » indique Rébecca Shankland, maître de conférences à l’université de Grenoble-Chambéry.

 

La psychologie des couleurs

Par Le 30/03/2016

Diversite de couleurs

Saviez-vous que la couleur a un impact direct sur notre façon de penser, de vivre, de nous affirmer ? Mais comment s’entourer au mieux des couleurs qui nous correspondent ? C’est ce que nous explique Valérie Morin Petruzzella, Conseillère Couleur, Expert Feng Shui.

La couleur ou notre perception de la couleur résulte de la manière par laquelle un objet absorbe et réfléchit la lumière.
L’impression de couleur générée par notre cerveau dépend des longueurs d’onde du spectre de lumière visible réfléchies par un objet.
Elle est le résultat d’une interaction entre la lumière, un objet et l’œil de l’observateur.
Chacune d’elle nous envoie ses vibrations, agit sur notre moral, notre bien-être et sur notre comportement.
Elle nous envahie et nous fascine. Les couleurs expriment des émotions, elles nous attirent ou nous repoussent immédiatement, sans que l’on éprouve le besoin de verbaliser nos ressentis.
Les aspects symboliques des couleurs sont essentiellement culturels et à notre insu, ils influencent notre perception et nos émotions face à elles (couleurs).
Les couleurs véhiculent des codes auxquels nous obéissons sans le savoir et qui pèsent sur notre quotidien, notre environnement et sur nos choix.
Notre langage courant reflète bien la place que la couleur occupe dans notre vie quotidienne. Il emprunte ainsi aux couleurs des expressions pour décrire notre état d’esprit (on voit la vie en rose, on voit rouge, on broie du noir, on est vert de trouille, on fait grise mine, on rit jaune ou on a une peur bleue …).

Sur tous les continents et dans toutes les cultures, la couleur imprègne notre vie. L’aspect psychologique de la couleur a son propre code que l’on nomme le langage des couleurs.

Aujourd’hui de nombreuses études confirment l’influence des couleurs sur notre humeur et notre comportement.
Il est reconnu que la couleur agrémente notre quotidien, nourrit nos sens, nous procure de la joie ou nous suscite de la tristesse.
Son langage possède une symbolique, un sens, et nous délivre des messages avec des codes bien définis.
Du choix de nos vêtements à la couleur de nos serviettes de table, nous envoyons des messages à notre entourage en fonction des couleurs choisies.

Bien choisies, Les couleurs apportent confort, sérénité et bien-être

La symbolique et l’effet psychologique des couleurs sur le vêtement

Le vêtement est le premier moyen de communication avec le monde extérieur, il est le reflet de nous-mêmes.
Et surtout dévoile notre personnalité. Les couleurs de nos vêtements envoient des messages très précis comme le font les couleurs dans la publicité.
Le choix de la couleur de nos vêtements n’est pas anodin. Il influence notre comportement tout au long de la journée ainsi que celui des individus qui nous entourent. L’association de différentes couleurs dans le domaine de l’habillement ont un fort pouvoir de communication : il est donc très intéressant d’en connaître leurs propriétés.
Elle peut contribuer à atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés. Il est donc nécessaire de choisir ses couleurs avec attention .
Par exemple pour vous rendre à un rendez-vous amoureux, il est important de choisir une couleur qui en dit long sur vos aspirations où met en valeur votre état émotionnel. Le choix sera difficile mais il influencera certainement votre partenaire.

Le Rouge : est le monde des efforts, il représente le concret, la sécurité, l’autonomie, la relation avec la mère.

A porter : pour développer votre autonomie. 

A éviter : si vous ne souhaitez pas que l’on dérange vos habitudes.

Le Bleu: est le monde de la communication et de l’intuition. Il représente l’écoute, l’expression, l’improvisation, la création, l’action, l’originalité, l’art.

A porter : pour exprimer des vérités, inciter à la création, développer l’inspiration.

A éviter : si vous ne désirez pas communiquer et être à l’écoute

Le Vert : est le monde de l’affectif, des sentiments, de la famille, il représente l’amitié, la convivialité, la générosité. Esprit de famille, l’hospitalité.

A porter pour favoriser la bonne entente

A éviter si vous ne voulez pas que l’on abuse de votre générosité

Le Jaune est le monde de la connaissance et de la comparaison, il représente l’intelligence, la méthode, l’organisation, la structure, le travail, la confiance en soi, la valeur de soi, la réussite sociale.

A porter : pour : stimuler les facultés intellectuelles, développer le sens de l’organisation

A éviter : quand votre cerveau a besoin de repos

La symbolique et l’effet psychologique des couleurs dans l’habitat

Laisser entrer les couleurs dans sa maison, est un moyen peu onéreux, rapide et efficace de personnaliser son intérieur et d’être en complète harmonie avec soi-même.

Reflet de notre personnalité, les couleurs participent au bien être et au confort de notre environnement. Chaque couleur évoque une signification particulière et stimule ainsi des sentiments différents. Les possibilités qu’offrent les couleurs pour transformer littéralement l’atmosphère d’une pièce sont pratiquement illimitées. Souvent, quelques accessoires de couleur suffisent déjà à donner une touche décisive et, en un clin d’œil, la pièce austère se transforme en un lieu convivial.

Dans votre intérieur, la couleur détermine une ambiance, un style et un confort visuel.

Pour vivre en harmonie et créer un espace qui vous ressemble, il est utile que vous vous demandiez comment vous souhaitez principalement utiliser chaque pièce et quelle atmosphère doit l’empreindre. Si l’exercice est bien mené, la personnalité et les complémentarités des couleurs choisies reflètera très fidèlement à la fois ce que vous êtes, l’ambiance optimale que vous souhaitiez pour vous-même et les « impressions » que vous voulez produire sur vos visiteurs.

Le Violet est le monde de la spiritualité, il représente la rigueur, la maîtrise de soi, l’enseignement, l’expérience, la spiritualité, les initiatives, la relation avec le père. 
Un intérieur violet favorise à prendre des initiatives, incite à diriger une équipe, à concrétiser un projet, à tenir ses engagements

Le Orange est le monde des réactions et des émotions, il représente le mouvement, le plaisir, le jeu, la fête, la sexualité, le désir, la passion. 
Une ambiance orange apporte du dynamisme, favorise la spontanéité, incite à foncer.

Le Fuchsia est le monde des limites et des compétences. Il représente l’acceptation des ses complexes, estime ses capacités réelles, il permet d’accéder à ses ambitions en reconnaissant ses véritables aptitudes. Une ambiance Fuchsia aide à trouver sa place en reconnaissant ses limites.

Le Sable (beige) est le monde de la plénitude. Il représente la quiétude.
Une ambiance Sable permet de prendre le temps de vivre et d’être en paix avec soi-même.

Plus les couleurs seront présentent dans notre vie et notre environnement, plus nous jouirons de leurs bienfaits, et plus nous vivrons en harmonie avec nous même et avec la nature.

 

Source : http://santecool.net/psycho/la-psychologie-des-couleurs/